Mélanie, Cécile et moi-même. - Histoires de Sexe

Mélanie, Cécile et moi-même.

Un ami me disait récemment, que le meilleur moyen de ne rien oublier, était de noter ce qu’il y a à faire. Eh bien moi, je vais agir de la sorte, mettre à plat un souvenir, pour le revivre, et surtout parce que ce moment exquis ne se reproduira sans doute jamais. C’était l’été dernier, nous étions invités, ma femme et moi, au déménagement d’une de nos amies, Mélanie. Elle venait de se séparer de son mec. Un mec sympa avec qui nous sortions régulièrement. Je ne vous cacherai pas que j’ai toujours un peu fantasmé sur Mélanie. Ce n’est pas que l’expérience ne m’aurait pas tenté, bien au contraire mais… les choses sont ainsi. Pour être tout à fait honnête, je me suis déjà branlé sur Cécile ma femme, en pensant à Mélanie. Jamais en faisant l’amour, mais lorsque Cécile me demande de jouir sur son visage… ça oui. Une jolie blonde, assez petite, mais si fine que ses jambes semblent longues, une poitrine opulente au-dessus de hanches toutes fines. Oui, Mélanie m’excite. Toujours très féminine, elle m’excite de manière différente de Cécile. Ma femme est élancée, et affiche ses 35 ans comme elle affichait ses 25. La grande différence entre Cécile et Mélanie, hormis la couleur et la taille de la coupe de cheveux, c’est le look. La blonde chevelure de Mélanie glisse sur les épaules et le buste échancré, là même où la courte chevelure de Cécile laisse apparaître un cou et un col de chemisier négligemment porté. Vous l’aurez compris, ma femme est du genre Converse et jean. Bref, le soir du ...

... déménagement, Mélanie nous proposa de rester manger et c’est avec plaisir que nous acceptâmes. La journée nous avait claqués et pour une fois Mélanie était en jean. — Tu n’es pas encore en jupe ? lançai-je à Mélanie. Pourtant le déménagement est fini.— Dis donc, on dirait que c’est un appel pour pouvoir la mater, dit Cécile en souriant.— Laisse, enchaîna Mélanie, si je peux lui faire plaisir, c’est quand même lui qui s’est tapé la plupart des meubles à monter.— Ah merci… dis-je en enfilant ma bière. Il faut bien avouer que cela est agréable de voir ce joli corps mis en valeur. Et puis, ça te va si bien. Mélanie rougit. Cécile la regarda, sourit, me regarda et lança sur un ton de désinvolture incroyable : — Si cela te détend, tu n’as qu’à la baiser là… Maintenant. Mélanie se mit à rire… rire… — C’est pas maintenant que je ne suis plus avec Arthur que tu vas prendre sa place… Dis donc, Cécile, ça te va bien de proposer un plan, mais je te rappelle que toi, tu as toujours refusé. Cécile était visiblement gênée. Elle ne savait plus quoi dire. Moi, je prenais un malin plaisir à imaginer ma femme dans les bras de Mélanie. Je bandais ! — Ne me dis pas que tu pourrais coucher avec Cécile, me surpris-je à dire.— Pourquoi, tu préférerais que ce soit avec toi ? Je fus plutôt surpris. Bien sûr, me dis-je en moi-même, ça fait assez longtemps que je rêve de te baiser. Finalement, la seule chose qui sortit fut : — Avec toi et ma femme. Oui, il faut bien se couvrir et paraître un gentleman. ...