1. Pauline - Années étudiantes (22)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Chapitre 22 • Ton voyage s’est bien passé ma puce ? • Ca va. J’ai dormi tout le trajet, je me suis réveillée à peine lorsque le train est arrivé en gare. Charline est à la maison ? • Heu... Non... On n’est plus ensemble, depuis deux jours. • C’est elle ou c’est toi ? • Elle... Je ne sais pas trop pourquoi en fait. • Mais, ça va ? Pas trop triste ? • Non, ne t’inquiète pas. On était trop différent de toute façon. Mais, ses énormes seins me manquent un peu tout de même. C’était confortable pour y mettre la tête. • Cochon. Il posa sa main sur ma cuisse, la caressa un peu, remonta, commençait à glisser à l’intérieur. Je l’ai repoussé gentiment • Non papa, je n’ai pas envie. • Je comprends. Tu es fatiguée. Ce n’est pas grave. • … Je n’ai plus envie qu’on le fasse. • Vraiment ? Pourtant, c’était agréable tous les deux. Et c’est toi qui avait commencé. • Et c’est moi qui finis. • Ok... Je n’insiste pas. T’as prévu des trucs pendant tes vacances ? • Non, rien de spécial. Me reposer, réviser, faire du sport... Voilà. Nous avons passé une première soirée calme et agréable à manger une pizza devant la télé. Le lendemain matin, il me réveilla doucement, m’ayant amené mon petit-déjeuner sur un plateau. Je l’ai mangé sur ma petite-terrasse privée, il faisait bon, il y avait du soleil, c’était le paradis. En plus de la table et des deux chaises, il m’avait même installé un transat, sur lequel j’ai passé ma matinée à ne rien faire d’autre que me dorer le corps nu, avec un tout petit vent ...
    ... bien agréable qui me caressait la peau. Je suis descendue en fin de matinée pour l’aider à préparer le repas. J’ai juste enfilé une petite robe d’été. Il rit un peu en me disant • Je crois que tu as attrapé un petit coup de soleil. • Ha bon ? Où ça ? • Sur le nez, et t’as le décolleté tout rouge. J’ai penché la tête, j’ai tiré sur ma robe pour jeter un œil, il n’avait pas tort. Mais lui aussi en profita pour regarder ma poitrine. • Papa, ne matte pas. • Je n’ai même pas le droit à ça ? • Non. Ca pourrait te donner des envies. Le repas est passé, je ne me suis pas attardée et suis vite remontée dans mon antre. Plusieurs fois, mon père eut des regards très insistants qui me rendaient mal à l’aise. J’avais bien compris qu’il avait envie de moi, mais là... Il n’y avait aucune tendresse, pas d’amour... Il me fit un peu peur sur le coup. Mais tout ça a vite été oublié, installée sur mon lit à lire un livre. Quelques minutes plus tard, je l’entendais parler. Pourtant, personne n’avait sonné à la porte. Il devait être au téléphone, il n’y avait que sa voix. La discussion semblait violente en tout cas. Je suis allée voir. Ca venait du bureau dont la porte était entre ouverte. Et j’entendais mon père, avec une voix déformée répéter en boucle "Sale pute, grosse salope, je vais te baiser, je vais te l’enfiler bien profond et tu vas voir ce qui t’attend !". J’ai passé la tête, il était en train de se branler devant son ordinateur à regarder les photos de moi que nous avions faites durant les ...
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