1. De Julien à Julie (1)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Transexuels

    De Julien à Julie – 1 Me m’appelle Julien, j’ai vingt-trois ans aujourd’hui. De tous temps, je me suis considérée du sexe féminin et attends avec impatience l’officialisation de ma nouvelle identité : Julie. Voici mon histoire ... Ma mère, Françoise, a divorcé très tôt après ma naissance et je n’ai jamais connu mon père qui est décédé peu de temps après leurs séparations. Ma sœur Mathilde est un peu plus âgée que moi. Maman nous a eues jeune et a beaucoup trimé pour nous offrir le meilleur possible à l’une comme à l’autre. Si je parle au féminin, c’est que je me sens fille plus que garçon. A l’école primaire, malgré quelques allusions, ça c’est plutôt bien passé. Par contre, au collège, en avançant en classes, les moqueries se sont accentuées. On m’appelait ‘Julie’ et me traitait de pédé. Il faut dire qu’alors que les garçons grandissaient, se fortifiaient, avaient un début de pilosité … Moi, je n’avais que peu de transformations physiques. Je restais fluet avec une voix qui n’avait pratiquement pas mué. A la maison, je suis entourée de filles. Maman et Mathilde, bien sûr, mais aussi ma tante Sophie. Cette dernière vient souvent voir ma mère, sa sœur. Elle est très libérée et parle ouvertement de ses conquêtes en donnant moult détails qui gênent maman, quand ma sœur et moi sommes présents. Elle est tout l’inverse de maman qui a une vie plutôt morne de ce coté là. Baignée dans cette atmosphère féminine, je me régale d’admirer leurs manières de parler, de poser, de croiser les ...
    ... jambes, de tenir une cigarette. Mais aussi la façon de se coiffer ou de se maquiller. Je suis particulièrement fascinée par ma tante qui est toujours très sexy, même si elle change de style fréquemment. Tantôt vintage, tantôt branché ou d’un genre totalement inclassable ! Vers quinze ans, ça me chatouille bien entre les jambes et malgré mes tentatives pour me masturber, je n’arrive pas à éjaculer. Un jour, c’est en voyant les dessous que maman, posés sur le panier à linge dans la salle de bain, que j’ai la folle idée de les revêtir. D’abord, le soutien gorge puis la culotte noire et c’est surtout en enfilant les collants que je me mets à bander comme jamais. Je m’admire dans le miroir tout en me caressant. Mon excitation est telle que cette fois mon sperme gicle pour la première fois ! Quelle découverte sensationnelle !! Dès lors et quand c’est possible, j’emprunte à maman ses vêtements en fouillant dans sa commode. Je m’enhardis en portant également ses robes et ses bijoux. Je remets tout en place avant son retour. Progressivement, j’ai envie d’aller plus loin. Je veux sentir le plaisir d’une pénétration. Tante Sophie parle souvent de sodomies (pas avec ce terme !), je dois pouvoir essayer à mon tour si elle y aime ça. Je lubrifie à l’eau savonneuse des objets profilés de plus en plus gros. Le manche d’un gros tournevis reste difficile à accepter, mais j’y arrive maintenant ! Et les sensations nouvelles de cette invasion déclenchent en moi des orgasmes puissants. Un jour, je ...
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