1. Le magasin de chaussures


    Datte: 03/06/2018, Catégories: fh, ffh, magasin, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hdanus, conte, sm,

    J’étais en mission ce soir. Il me fallait absolument une nouvelle paire de chaussures. J’étais donc arrivé bien à contrecœur devant ce magasin de la rue de Passy avec l’obligation de repartir chaussé. Comme d’habitude, je commence par scruter en détail la devanture pour trouver le modèle idéal et réduire au maximum le temps passé à l’intérieur. Je pénètre dans le magasin et me dirige vers le petit comptoir d’accueil. Pas de vendeuse à l’horizon. Je me retourne et découvre une jeune femme, grande, blonde, vêtue d’une petite robe blanche en coton (ou s’agit-il d’une robe-débardeur ?) qui dévoile des jambes infinies et dorées à point. Bien sûr, la créature est occupée avec une cliente. Je vais donc me retrouver avec l’autre vendeuse que je vois à l’instant apparaître derrière le comptoir. Elle est jeune aussi, mais c’est à peu près tout ce qui les rapproche. Enfin, c’est toujours pareil et puis, je suis venu pour des chaussures. Je commence à ouvrir la bouche et une voix se fait entendre, mais elle ne sort pas de ma bouche. La deuxième vendeuse bifurque immédiatement, comme guidée par des rails et s’éloigne. Je soupire et commence à maugréer en silence lorsque je suis interrompu par une voix derrière moi. — Je peux vous aider, monsieur ? C’est la créature blonde à la robe-débardeur qui, à ma grande surprise, s’offre à moi (enfin, à mon moi client). Ma bouche s’ouvre à nouveau et, à nouveau, les premiers sons que j’entends n’en sortent pas. — Vous désirez ? Je m’ébroue ...
    ... mentalement et me dirige vers la devanture en lui expliquant que je souhaiterais essayer le modèle situé dans la prolongation de mon doigt, juste là. Elle s’approche de moi et se penche légèrement pour mieux voir. Soumis à un réflexe génétique, mes yeux se retrouvent plongés dans le creux du décolleté que son geste a créé. Soumis à un autre réflexe génétique, son regard vient se poser sur le mien, sans affecter la moindre surprise. — En 43 donc ?— Oui, oui, c’est ça. L’habilité avec laquelle je me donne une contenance ne semble pas l’impressionner. — Veuillez-vous asseoir là, je vais les chercher. La formule ne souffre d’aucune critique, mais le ton de la jeune femme laisse flotter un parfum de fermeté auquel je ne me savais pas si sensible. Je prends place car elle semble attendre que je m’exécute. Une fois assis, mes yeux se retrouvent à hauteur de l’ourlet de sa robe blanche et de ses cuisses. Comme satisfaite d’avoir si facilement pu capter mon attention, elle se retourne et part vers la réserve. Continuant à faire honneur à mon genre, dès qu’elle s’éloigne, mes yeux se dirigent vers sa silhouette, ses longs cheveux blonds qui fouettent le haut de son dos, ses reins, dangereusement moulés dans le coton blanc, et glissent lentement le long de ses jambes. J’ai même le loisir de détailler ses jolis escarpins aux courts talons. En relevant enfin les yeux, je croise son regard glacé dans le miroir qu’elle dépasse en pénétrant dans la réserve. Je soupire, honteux de me comporter aussi ...
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