1. On rase le passé


    Datte: 03/06/2018, Catégories: f, ff, asie, vacances, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral fdanus, aliments, init, lettre, initff,

    Chapitre II/IV : On rase le passé Résumé du chapitre précédent : Juliette écrit à son ex. Elle lui raconte son voyage initiatique dont elle espère revenir libérée de tous les tabous qui la bloquent et qui l’empêchent de répondre aux attentes de son amour. Après quelques heures, avant que tout mon corps ne devienne écarlate, j’ai décidé de rejoindre mon bungalow. En chemin, j’ai croisé mon professeur, je lui ai souri et il m’a regardée d’un air grave. Il s’est approché de moi, a remonté légèrement mon tee-shirt et, montrant mon maillot du doigt, m’a dit : — Ridicule ! Puis son doigt a désigné une poubelle. C’est vrai que sur la plage et dans tout le camp je n’avais vu que des sexes féminins à peine couverts par un maigre tissu tout juste retenu par des bouts de ficelle. Avec mon mètre carré de tissu servant de culotte, je n’étais pas à la page. — Vous avez raison, lui dis-je. Et, d’un geste sûr, j’ai baissé mon slip sur mes mollets et fait passer mes pieds dedans. D’un geste rageur, je me suis baissée pour le ramasser, sans me préoccuper du spectacle que j’offrais ainsi aux personnes qui me suivaient, et j’ai jeté lePetit Bateau à la poubelle. Le professeur a juste pu dire « Parfait ». Puis, toujours imperturbable, il m’a prise par le bras pour me guider vers les boutiques. Nous sommes entrés dans la première, qui s’appelait fort explicitementSans chemises, sans pantalons. Il s’est approché de la vendeuse et lui a dit très simplement qu’il cherchait un maillot pour me ...
    ... permettre de bronzer. Elle a tout de suite amené sans dire un mot deux ou trois maillots plus petits les uns que les autres. Superficie de tissu : trois centimètres carrés maximum. Moi, j’allais mettre ça ? Le professeur m’a regardée, a sélectionné deux modèles bariolés dont la couleur allait avec mon teint et a pris le plus petit des deux. — Essayez le bas, m’a-t-il dit d’un ton ferme, sans me laisser le choix. Je me suis tout de suite exécutée, ne cherchant même pas la cabine d’essayage, au point où j’en étais. Cela m’a fait une drôle de sensation d’essayer de cacher mon sexe avec ce tissu pas plus grand qu’un timbre-poste, et surtout de sentir cette ficelle me pénétrer entre les fesses, me chatouillant l’intimité. J’ai relevé mon tee-shirt en demandant leur avis au professeur et à la vendeuse. Ce n’était pas terrible et je tirais dans tous les sens le tissu pour essayer de cacher, en vain, ma toison qui en dépassait de tous les côtés. Le professeur m’a tendu le haut. Mon tee-shirt est passé par-dessus mes épaules et j’ai mis sur ma pâle poitrine ce qui ne devrait plus s’appeler un soutien-gorge mais bien un cache-tétons. Le professeur a demandé à la vendeuse de m’aider à m’ajuster, ce qu’elle a fait sans problème. D’abord elle a fait coulisser le tissu du haut sur mes seins frémissants afin de camoufler mes tétons qui, sous l’effet, se sont mis à tendre le tissu léger. Puis elle s’est attaquée au bas, tirant sur la ficelle afin que le tissu recouvre bien l’entrejambe. Cela a eu ...
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