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Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)
Datte: 03/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... toi et surtout chez tes parents…allez viens me faire l’amour. M’implora-t-elle en soulevant brièvement son bassin. Je me tus pour ne pas paraître vulgaire, mais des mots crus me montèrent à la tête. La petite frangine de ma mère possédait tous les atouts de la féminité, elle compilait à mes yeux la quadra débordante d’un charme purement sexuel à celle d’une maturité accomplie de son corps. Enthousiaste à la vue de ma verge aux veines gonflées, Véro en haussa les sourcils. A un train de sénateur, mon membre s’engagea entre ses muqueuses sous l’échange de nos regards contemplatifs. Je savourai ce moment hautement jouissif en parcourant l’intimité de la petite frangine, de m’imprégner de sa chaleur toute personnelle. Mais une fois le début de lentes vagues en elle, Véro ne put se contenir de m’avouer l’évidence la concernant. — Hannn…pourquoi je ne t’ai pas connu plus tôt…c’est trop bon avec toi… Murmura-t-elle la bouche entrouverte en me caressant le dos. — C’est d’une telle évidence entre nous Véronique. En échangeant un long baiser passionné. — Oui…oui c’est vrai en plus, c’est si évident avec toi. Reconnut-elle en s’agrippant désormais à mes épaules en petite femelle conquise. Je lui infligeai au départ de langoureux va et vient. Nos bouches se croisèrent et comme deux aimants, nos lèvres se plaquèrent l’une à l’autre. Puis mon sexe entra en action pour la pénétrer plus profondément. Véro frissonna à chacun de mes coups, abandonnant notre baiser pour respirer intensément. ...
... Le corps transpirant, elle plaqua ses mains sur mes fesses en manifestant des grognements étouffés. J’avais enfin ma tante à moi, je la baisais comme je l’entendais avec ma verge baignant littéralement dans sa fente ruisselante. Sans oser le lui dire, je réalisais en fait son fantasme si cher à elle qui finalement était proche du mien. Elle se faisait baiser par le fils unique de sa sœur, laquelle dormait dans la pièce voisine et au fond d’elle-même, cette prise de risque l’excitait au plus haut point. Véronique haletait, se cramponnait à une jouissance déjà promise. — Oui mon chéri…continue à me prendre…continue…Dit-elle les jambes pleinement écartées me signifiant son consentement pour lui faire ce qui bon me semblait. — C’est magnifique entre nous…oh ma Véro ! En pilonnant son bas ventre avec ses mains qui me griffaient le dos. — Ouii…oui…j’adore trop… Grogna-t-elle en plantant ses ongles dans mes omoplates et en ondulant son bassin sur mon rythme frisant la frénésie. — Vero je t’aime, c’est tellement fou. En grognant à mon tour ma jouissance en elle sans me soucier des blessures qu’elle m’infligeait. — Hannn Patrick…je t’aime…hannn mon Patrick…hannnnnn… Gémit-elle à n’en plus finir. — Oh oui…viens ma belle ! Lui ordonnai-je en plaquant mon pubis contre le sien durant quelques secondes de pure jouissance en elle. — Hannn….j’en peux plus…je…hannn…hannn… Haleta-t-elle en lui administrant l’estocade finale, afin de l’entendre gémir pour agoniser dans un soulagement mérité. ...