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Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)
Datte: 03/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... dernière fois ma mère. — Oui merci, je fume une cigarette avec Patrick et je te rejoins. Ma mère prit le petit dans ses bras et nous laissa une nouvelle fois seuls. Je lui proposai sa fameuse cigarette et en lui tendant le briquet, elle tira une première bouffée en expirant la fumée avec légèreté. Comme pour se montrer encore plus désirable qu’elle n’était, elle tenta de se recoiffer en secouant la tête, puis se passa la main sur le front afin d’y dégager des mèches indésirables. Elle me questionna sur le lieu de pêche et je lui expliquai qu’il s’agissait d’un étang à une bonne heure d’ici. Sa cigarette terminée, elle but une gorgée de café et s’essuya méticuleusement la bouche. Je bandais comme un beau diable et je savais très bien les intentions de ma tante, hésitante à faire le premier pas. Sans l’écouter, je la regardais en fixant ses lèvres, ayant des pensées peu communes pour un neveu assis face à sa tante. Elle s’en aperçut et fit comme si de rien n’était, oubliant pour l’instant sa promesse faite durant notre étreinte. — Tu ne m’écoutes pas du tout Patrick ! Dis-moi ce que je viens de dire ? M’interrogea-t-elle en pliant et repliant sa serviette. — Je…je ne sais plus, je pensais à hier. C’était super cool. En fait c’est cool d’être avec toi. Lui dis-je en débarrassant ma tasse. — Oui c’était génial hier, j’ai adoré. Pour tout te dire, si nous étions seuls je n’aurais qu’une envie, te dire d’aller me recoucher avec toi…mais ce soir il faudra rester sage Patrick. On ...
... doit quand même faire attention et ton histoire de femme mariée a déplu à tes parents, mais au moins ils ne s’imaginent plus des trucs entre nous…humm c’est agréable. Ajouta-t-elle suite au petit baiser dans la nuque que je venais de lui faire en étant derrière elle. — A propos d’être seuls, Maman est en haut et j’ai ma Tatie à moi. En glissant mes mains dans son décolleté pour peloter franchement ses deux superbes nichons et en redoublant de baisers dans son cou. — Eh tu me donnes des frissons ! Viens plutôt me dire bonjour en m’embrassant que je puisse te voir. Suggéra-t-elle en m’empoignant pour me mettre face à elle. — Dis ? …tu te rappelles de ce que tu m’as dit hier soir et je devine à quoi tu penses. Insinuai-je dans ma tenue de jogging. — Oui je vois à quoi tu fais allusion Patrick…euh j’ai dit ça hier, mais hum hum…ta mère est en haut et je me sens un peu mal à l’aise pour tout te dire. Ajouta-t-elle en prenant une voix enfantine, presque innocente. Le gazouillis des oiseaux en ce mois de printemps se fit entendre. Face à cet embarras prévisible et connaissant son manque d’initiative dans ce type de situation, je n’hésitai pas à rester face à elle. Je glissai délicatement ma main sous son menton, lui indiquant de par ce geste mon désir de la voir à l’œuvre. Véronique m’adressa un sourire et saisit mon jog pour le baisser. Ma verge gonflée à bloc surgit à hauteur de son visage. — Patrick…je me demande bien pourquoi je t’ai proposé ça hier…tu me mets un peu devant le fait ...