Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)
Datte: 03/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... 36 questions, en Arsène Lupin de service je quittai ma chambre en jetant un coup d’œil sur les petits cousins. Passé le couloir, j’entrouvris sa porte pour l’apercevoir grâce à la luminosité du réverbère. Elle se redressa peu surprise de ma présence et d’un léger mouvement d’épaule, elle se débarrassa de cette chemise de nuit devenue inutile. Elle découvrit le drap, affichant sa nudité sans complexe vis à vis de moi. Dans cette pénombre, sa plastique de rêve fut encore plus ensorcelante qu’à l’accoutumée. — Ne réveille pas Hugo…Murmura-t-elle en se calant la tête contre l’oreiller. — Alors ma belle Tatie est énervée ? En me mettant à genoux sur la moquette, au bord du lit. — Oui avec tout ce que tu m’as dit, je n’arrive pas à dormir et je sais que je ne suis pas raisonnable en te demandant de venir. Dit-elle en faisant une sorte de mea-culpa. — Je vais te faire du bien, ouvre tes jambes et approche que je puisse te lécher. Osai-je lui demander à elle si réservée de nature. — Tu veux déjà me lécher ? Tu ne veux pas m’embrasser avant ? Me demanda-t-elle, sans se soucier de notre conversation immorale que nous échangions. — J’adore te lécher quand tu ne mouilles pas encore. En lui caressant la peau duveteuse de son ventre et en poursuivant ma provocation verbale. — Si tu veux…alors goûte-moi et tu me diras… Dit-elle en écartant ses jambes tout naturellement pour me dévoiler ce qu’elle avait de plus personnelle. Stupéfié, abasourdi mais presque épaté par son comportement et par ...
... son langage, je restai contemplatif devant ce corps parfait aux formes si harmonieuses. Véronique approcha une nouvelle fois son bassin et une fois bien installée, elle haussa les sourcils, me signifiant son désir de se faire lécher son sexe. Pour mieux se faire désirer, elle n’oublia pas de bien inspirer pour ensuite creuser son ventre. Se montrant follement attirante sexuellement, je posai ma main sur son ventre et tout en douceur je parsemai de baisers ses lèvres intimes. Puis ne résistant plus face à la beauté de son sexe, je plaquai ma bouche contre son vagin. La fixant du regard, je remontai avec ma langue entre sa fente pour stimuler son clitoris déjà en éveil. Tout en m’attardant à cet endroit sensible, je palpai la base de ses seins en effleurant leurs pointes de la paume de mes mains. Malgré les risques encourus, les craintes naissantes de mes parents, ma tante n’en eut cure et se délecta du cunnilinctus administré par mes soins. En migrant à l’entrée de sa source, je récoltai sa saveur intime abondante en persévérant dans un langage intimiste. — Hum tu as bon goût Véronique ! J’aime ton odeur. En lapant ses lèvres généreuses de sa liqueur chaude. — Oui mais tu m’excites Patrick…oh ce que ca peut être bon… En saisissant ma main pour la serrer avec la sienne. — Tu raffoles de ça on dirait, tu aimerais te faire doigter à ce que je vois. Lui suggérai-je, la tête relevée avec mes doigts prospectant sa rivière en crue. — Oh fais-le…tu sais donc que j’adore. Dit-elle en ...