1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (24)


    Datte: 03/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de fantasme au fil des années. Mais le temps m’avait donné raison et fort d’un stage à Bordeaux pour mes études, j’avais accompli mon éternel fantasme en la draguant assidûment durant mon séjour chez elle. D’étalage de crème à bronzer en passant par mes massages dits californien, j’étais parvenu à mes fins en pensant à ce qu’elle m’avait avoué par la suite. Elle m’avait tout simplement confié qu’elle n’aurait rien eu contre une petite aventure à l’aube de mes 18 ans. Près de six longues années plus tard, elle divorça et je fis ce fameux stage chez elle, bien loin me douter de ses sentiments. Elle m’avait bien caché son jeu, mais cela aurait pu paraitre saugrenu de ma part de lui en vouloir, car au fond elle restait la sœur de ma propre mère. Malgré notre vie commune, elle me rappelait sans cesse qu’elle demeurait ma tante dans certaines circonstances. — Tu as bien dormi Patrick ? Me demanda ma mère en tartinant un bout de pain beurré. — Super, Oscar et Jules dorment comme des anges, par contre le lit c’est pas le top ! — Mais tu aimerais peut-être retrouver ta chambre, tu y dormirais mieux ? Suggéra ma tante avec de la confiture au coin de sa bouche dépourvue de maquillage. — Non ça va encore faire des disputes et puis dans quatre jours nous serons partis, on ne va pas tout changer. Dis-je en m’asseyant près d’elle avec ma tasse de café en ayant qu’une envie, l’embrasser à pleine bouche. — Oui ça passe si vite, tu vas chercher Mamie ce matin ? Demanda ma mère alors que sa ...
    ... sœur avait pris pour habitude d’effleurer son pied nu contre ma jambe. — Euh oui je prends la voiture de Papa, d’ailleurs je ne vais pas tarder et vous allez cacher les œufs pour les garçons je suppose. En commençant à avoir une belle érection en sentant la peau douce de ses orteils raffinés contre ma peau. — On ne va pas t’attendre quand même ! Véro je vais faire ma toilette et ensuite préparer à manger. Nous lança ma mère en quittant la cuisine. Ma tante avait le visage posé sur son coude, elle me souriait en poursuivant cette fois son geste en accolant sa voûte plantaire contre mon mollet. Elle était en manque de tendresse voire même un peu plus. En effet depuis trois jours nous ne faisions que de nous croiser en nous faisant la bise en public, tout cela pour finir par se coucher chacun dans son coin. Véronique avait beau avoir 43 ans, elle avait la libido d’une môme qui venait de découvrir l’amour. Malgré la reprise de la pilule depuis son accouchement, ma tante ne refusait jamais une partie de jambes en l’air avec son neveu. Tout en faisant preuve de modestie, je l’avais décoincée sur le plan sexuel voire totalement épanouie et elle ne se gênait plus pour me le faire remarquer, malgré son embarras constant vis à vis de moi. Je restais à ses yeux le fils unique de sa grande sœur et l’impureté morale de notre relation persistait dans son esprit. Nous étions enfin seuls dans la cuisine, les garçons étant devant la télé et ma mère en haut en train de faire sa toilette. Véro, ...
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