1. Arrêt sur l'autoroute (1)


    Datte: 21/07/2017, Catégories: Gay

    Il y a deux semaines d’ici, j’avais rendez-vous à la banque dans le cadre de mes activités professionnelles. Je n’avais vraiment aucune envie d’y aller ayant bien d’autres tracasseries en tête mais c’était une étape obligée pour espérer pouvoir faire naître le nouveau projet qui m’était passé par la tête. Ce jour-là, les minutes passaient à une vitesse folle et l’heure de mon rendez-vous approchait. Je me suis vite rendu compte que je ne pourrais pas être à l’heure au rendez-vous car j’avais encore une fameuse route à parcourir pour revenir dans ma région où se situait mon agence. Sur la route, grâce à mon smartphone relié au bluetooh du véhicule, j’ai téléphoné à la banque pour demander à reporter mon rendez-vous. La personne qui m’a répondu m’a proposé de parler directement à mon conseiller, ce que j’ai accepté même si je ne le connaissais absolument pas. J’ai expliqué la situation et il m’a assuré qu’il comprenait bien. Il m’a demandé si je désirais reporter le rendez-vous. Je lui ai répondu que je devais le faire mais que mon emploi du temps était tellement rempli que je ne pouvais plus me libérer aucun jour avant 18 heures. Il m’a demandé si je voulais venir le jour même vers cette heure-là m’expliquant qu’il avait également beaucoup d’administratif en retard et qu’il allait rester tard de toute façon. Appréciant sa disponibilité, j’ai immédiatement accepté. Le rendez-vous était ainsi fixé. Sur l’autoroute, ayant du coup un peu de temps devant moi, je me suis arrêté à ...
    ... une pompe à essence pour faire le plein. Je suis ensuite rentré dans la boutique pour m’acheter à boire. Un petit passage obligé par les toilettes m’a permis de fantasmer quelques secondes à la rencontre d’un homme cherchant un moment de plaisir mais les urinoirs étaient déserts. Je me suis lavé les mains et me suis dirigé vers le shop. J’ai attrapé à la volée un de ces sandwichs préparés, une canette d’orangeade et je me suis rendu vers la caisse. Sur le chemin, je passais devant le rayon des bouteilles de vin et j’en ai attrapé une avec l’intention de l’offrir à mon banquier le soir même pour le remercier de sa bonne volonté. A la caisse se trouvait debout un véritable éphèbe. Ce mec, de début de vingtaine, avait tout ce qu’il fallait pour faire du mannequinat ou presque. Une gueule d’ange, une peau visiblement douce sans le moindre défaut, une coiffure dense maîtrisée au moindre centimètre par du gel en quantité. Son corps était sans doute un peu trop frêle mais rien que son sourire me faisait fantasmer. J’étais dans la file à le fixer ne me rendant même plus compte que les clients devant moi avaient disparu. Tout à coup, une voix dynamique m’interpella. C’était lui pour me faire signe que c’était mon tour. Aucun mot ne sortait de ma bouche, qui était sans nul doute grande ouverte avec un air béat. Le caissier me demanda si tout allait bien. Je balbutiai « Oui… euh… oui… j’ai l’impression d’avoir vu un ange ». Reprenant mes esprits, j’ai vu qu’il souriait, un peu gêné, mais ...
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