1. Le joli mois de mai 10 ème partie : Partouze et rugby


    Datte: 06/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... énorme tout en se caressant, la jupe maintenant relevée sur les hanches. Son slip écarté d’une main, elle fouille son intimité en faisant rouler sous ses doigts disponibles son clitoris. Les yeux brillants et les lèvres entrouvertes, elle se laisse emporter dans de grands mouvements du bassin. Haletante, elle s’appuie dos à la table haute derrière elle. Maintenant bien raide grâce aux talents de Julie, je la rejoins. Sa veste de tailleur est prête à exploser sous la pression de ses seins. Je découvre sur son badge son prénom, Aurélie, en même temps que je la libère de sa veste et de son chemisier en prenant soin de lui laisser son soutien-gorge. Je m’accroupis devant elle et commence à la caresser à grands coups de langue. Mes mains remontent le long de son ventre plat et au travers de la fine dentelle blanche je fais rouler leurs pointes entre mes pouces et mes index. Sa toison blonde sent le musc et je plonge dedans avec délice. Elle accompagne mes caresses en posant ses mains de part et d’autre de ma tête, Elle exerce dessus une pression plus ou moins forte en fonction du plaisir qu’elle ressent et me guide ainsi vers son orgasme. Saisissant mes cheveux courts, elle jouit en aspirant l’air dans un son aigu tout en me plaquant contre elle. « Heureusement que la loge est bien insonorisée » me dis-je en retournant la jeune femme sans lui laisser le loisir de protester. Je me saisis dans une coupe d’un préservatif et pousse ma jolie blonde à se tourner vers la baie qui nous ...
    ... sépare des quelque vingt mille spectateurs présents cet après-midi. Penchée vers l’avant, la croupe soulignée par sa jupe remontée sur ses hanches, elle empoigne le dossier d’un fauteuil et attend offerte que je la prenne. Juchée sur ses talons elle m’offre une vulve trempée et brûlante. Je fais tomber mon pantalon à mes pieds et baissant mon boxer j’écarte sa petite culotte de la main et m’enfonce en elle de toute ma longueur. Sans la ménager, je la besogne comme un malotru et à ma grande surprise elle aime ça. Chacun de mes coups de butoir la fait crier. Pendant ce temps nos compagnes ne se sont pas endormies et Valérie se fait pénétrer par l’énorme gourdin de Marc. Elle aussi pliée en deux vers le terrain, complètement nue, elle regarde droit devant elle cette foule ignorant tout de ce qui se passe dans la loge. Christelle à côté d’elle, empoigne Marc d’une main comme elle le ferait d’un gode et de l’autre caresse la poitrine généreuse de son amie en lui chuchotant à l’oreille des mots que je ne peux entendre. Entre deux baisers dans le cou, elle me regarde en train de baiser la jeune Aurélie avec ce sourire auquel je commence à m’habituer. Comme un pacha, Nicolas lui, se fait pomper le dard par les deux sœurs, assis dans son fauteuil sans perdre une miette du match qui se déroule en contrebas. Heureux homme ! Tout à mon ouvrage entre les cuisses de ma blonde, je n’en oublie pas pour autant le spectacle que me donne Valérie. Je suis hypnotisé par le mouvement de ses seins ...