Le sujet qui fâche
Datte: 06/06/2018,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
fagée,
frousses,
couplus,
groscul,
campagne,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
échange,
Partouze / Groupe
portrait,
humour,
... profita de ma présence pour me demander de l’aider à rentrer son citronnier et son laurier rose. Les grosses gelées étaient passées. Courbé en deux, je tirai les énormes jarres sur roulettes et la retraitée m’aida en les poussant. Elle avait choisi de s’accroupir. Bien stable sur ses jambes, marchant en canard, elle me guidait de la voix puisque je ne voyais rien de ce qui se passait derrière. Le bas du tablier était remonté sur ses cuisses et, à chacun de ses mouvements de jambes, je voyais son minou. J’étais venu vraiment trop tôt, elle n’avait pas eu le temps de s’habiller, la pauvre. Son minou était étrange : deux demi-sphères dodues, anormalement allongées et une fente étroite et très étirée, comme une olive trop mûre, prête à exploser. Ce qui était certain, c’est qu’elle était rousse et que sa toison, bien que clairsemée, occupait un large triangle. Une dernière fois, avant de prendre congé, je lui reposai, sans grand espoir, la question de sa présence sur notre liste. — Non, vraiment pas motivée, mon cher Pierre, à moins que… Une simple supposition pour éventuellement reprendre en considération votre proposition. Supposons qu’un charmant garçon se montre, disons charitable, avec une pauvre veuve… Ce n’était ni ma prestance ni mon intelligence qui l’intéressaient. En fait, elle avait lu dans un magazine médical qu’il y avait une augmentation des cancers, strictement féminins, chez les dames qui n’avaient plus de relations sexuelles comme les vielles filles, les ...
... veuves ou autres divorcées. Mon grand-père m’avait inculqué le sens du devoir et du sacrifice pour les bonnes causes. Allongé sur le lit de la chambre de madame Dubus, seulement vêtu de mon slip, j’attendis que la retraitée, qui occupait la salle de bain depuis un bout de temps, soit enfin disponible. Sa préparation fut si longue que je m’assoupis petit à petit. Enfin elle pénétra dans sa chambre, les cheveux bien peignés, ses petits seins libérés de tout soutien-gorge, portant seulement un shorty blanc satiné et à bords flottants, sans élastique sur les cuisses. Elle me sortit le pénis de mon caleçon et l’emprisonna de sa main gauche pendant que la droite s’empara de mes testicules. L’action conjuguée et consciencieuse de ses mains entraina une érection qu’elle jugea satisfaisante. Elle s’arrêta en effet pour monter sur le lit, enjamber mon torse de sa jambe droite et se déplacer pour être à la verticale de mon visage. Une de ses mains s’agrippa à la tête de lit tandis que l’autre écarta un des bords du shorty pour libérer son minou. Elle s’accroupit en écartant bien les jambes et m’invita à exercer mes talents avec le plus de douceur possible. Comme ma maman m’avait inculqué les bonnes manières concernant les personnes d’un certain âge, je ne lui mis pas mon index dans l’anus. Après que j’eus rempli ma tâche, madame Dubus, ravie de ma prestation, s’allongea sur le lit pour se débarrasser de sa culotte en levant les jambes vers le plafond. J’en profitais pour sortir du lit, me ...