1. Insatiable Nathalie


    Datte: 06/06/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Oral pénétratio,

    ... bouche se rapprocha du slip tendu à craquer, elle écarta ses lèvres de poupée et mordit……………………………………….. dans le coton de mon sous-vêtement qu’elle retira avec ses dents telle une tigresse. Ma verge tressautait devant son visage, le gland cogna contre son menton. Je vis ses doigts fins s’enrouler autour de ma hampe, son visage se rapprocha encore davantage et mon assistante se caressa avec ma verge tendue. Elle la fit passer sur ses joues, dans ces cheveux soyeux, sur son menton. Ensuite sa bouche en coeur s’ouvrit pour laisser place à sa langue rose. La vue de ce spectacle accrût encore ma vigueur. Je gémis de plaisir lorsque sa petite langue rose vint lécher ma hampe du haut vers le bas, elle titillait mon gland à merveille. J’étais au bord de l’explosion mais Nathalie ralentit sa cadence car elle voulait me faire goûter à la douceur humide de sa bouche. Je haletais, mes mains agrippaient les coussins, je me tordis de plaisir lorsque je vis sa bouche en coeur commencer à m’engloutir. Elle progressait très lentement. Je sentais ses petites dents racler la fine peau de ma verge, mais c’était une caresse exquise. Elle me regardait dans les yeux comme pour me narguer avant de reprendre sa divine succion. Je me sentais aspiré vers un abîme de bonheur. Ses lèvres humides, elle les léchait avec sa langue lorsqu’elle reprenait haleine. Ce petit manège amoureux dura longtemps. Nathalie m’emportait au bord du précipice du plaisir mais jamais elle ne m’y poussa. Soudain elle se ...
    ... leva, moi également. Elle prit mon érection dans sa main et elle me mena ainsi jusqu’à sa couche. En un clin d’oeil elle fut entièrement nue, je ne pus même pas la caresser car elle se positionna à quatre pattes sur le lit en me présentant ses fesses et son abricot mielleux, telle une lionne en chaleur. "Viens mon beau, prends moi vite" furent les seules paroles qu’elle prononça. J’admirais ses fesses rondes et pleines et me positionnais derrière elle. Je sentis qu’une main impérieuse me prenait le membre sous ses cuisses pour l’ajuster à l’orée de sa fente d’amour. J’agrippais ses hanches et la pénétrais d’un coup entièrement jusqu’à la garde. Nathalie lâcha un rugissement, elle devait attendre ce moment depuis un certain temps, tout comme moi. Je me regardais aller et venir en elle dans le miroir de l’armoire. Nathalie avait la tête dans les coussins mais je l’entendais gémir de plus belle. Son ventre chaud, sa douceur, faillirent avoir raison de moi à plusieurs reprises, mais je réussi à me dominer. Mon bas ventre claquait contre les fesses de Nathalie, mes mains caressaient ses hanches larges et belles que j’agrippais également pour ne pas me laisser désarçonner par l’impétuosité de Nathalie. J’avais la nette impression de faire l’amour à une lionne puisque Nathalie ne cessait d’émettre des grognements quasiment inhumains. Je n’ai jamais ressenti une telle impression de dédoublement, puisque mon esprit accaparé par nos ébats amoureux et par le plaisir des sens me soufflait ...