1. Une bonne blague


    Datte: 06/06/2018, Catégories: Lesbienne

    ... surprendre par une prof) de jouer avec les pieds de sa souffre-douleur. Le moment était venu... Oui, décidément, cette blague était géniale! – Mademoiselle, demanda-t-elle à la surveillante, est-ce que je peux essayer de raisonner Coralie? – Vas-y, Hélène, mais je crois que tu n'y arriveras pas. Délicatement, Hélène posa les pieds de Coralie sur ses cuisses. Avec une infinie lenteur, elle baissa la chaussette jusqu'à la cheville, dévoilant les mollets dodus. Elle fit de même avec l'autre chaussette. Puis elle les remonta, les baissa à nouveau, mais cette fois, elle dénuda le talon. Avec un mouchoir, elle sécha les larmes de Coralie, puis lui déclara d'une voix mielleuse : – Regarde, Coralie, regarde combien je suis douce et gentille avec toi. Tout doucement, elle tira par le bout les deux chaussettes qui glissèrent lentement... les pieds étaient à moitiés nus, la base des orteils apparut, puis les chaussettes furent totalement ôtées. Hélène se saisit d'un pied et le détailla : bien cambré, aux orteils minuscules et à la plante toute douce, on avait immédiatement envie de le chatouiller. Elle commença à le caresser en la rassurant : – Tu vois Coralie? Que tes petits pieds sont doux et demandent à être cajolés... Allez, dis la vérité... Avec ses doigts, elle chatouillait la plante des pieds de Coralie qui se dandinait de plus en plus. Elle ne put cacher longtemps qu'elle était sensible : Hélène remarqua bien vite les soubresauts de sa victime se débattant, les orteils qui ...
    ... remuaient... Enhardie, elle excita la plante des pieds de haut en bas et de bas en haut avec son ongle. Elle enserra le pied de poupée dans sa main, puis elle le porta à sa bouche et remplaça son ongle par sa langue.. Durant deux bonnes minutes, elle honora avec une science toute érotique les pieds potelés et chatouilleux de Coralie, alternant les longs léchages de la plante avec les mordillement des orteils. Celle-ci ressentait de violentes décharges électriques dans le corps et commença à gémir. – Bon, tu t'es assez amusée! La surveillante repoussa Hélène violemment et avec une brutalité inouïe, elle saisit le soutien-gorge de Coralie et l'arracha d'un coup, dénudant son opulente poitrine... Dans un geste désespéré de pudeur, la jeune fille mit ses mains autour de ses seins pour les soustraire aux regards. La paire des claques s'abattit immédiatement sur ses joues... – Mains dans le dos! Montre nous un peu tes grosses mamelles! Eclatant en sanglots, Coralie obéit, dévoilant à ses camarades de dortoir une jolie poitrine. Les seins de Coralie furent palpés et soupesés par les filles, comme s'ils s'agissaient de melons vendus à l'étal du marchand. Un sourire pervers aux lèvres, la surveillante s'approcha. Elle commença à les pétrir, puis, avec le bout des nattes de Coralie, caressa les larges auréoles brunes, ce qui eut pour effet de faire jaillir les tétons, que la surveillante s'empressa de mordiller, puis, de mordre. Partant de la poitrine de Coralie, ses mains descendirent le ...
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