1. Une bonne blague


    Datte: 06/06/2018, Catégories: Lesbienne

    ... manière la plus intime possible... Hélène fut congratulée par ses copines de dortoirs et elles commencèrent à parler d'autres choses. Pour Coralie, les choses se compliquaient. Une fois rhabillée, elle fut saisie par les poignets et traînée par la surveillante à travers le couloir des dortoirs vers la sortie. La victime implorante fut conduite dans la salle de sports déserte. La surveillante ferma la porte et la gifla encore une fois, en lui lançant, haineuse : – Voleuse, va! File au coin! Déshabille-toi! Le cœur battant, Coralie se dépouilla à nouveau de ses vêtements. – Entièrement! La culotte aussi. Tomba alors la première punition, conçue exprès pour en amener d'autres : devoir rester toute nue en équilibre sur un pied et les mains sur la tête. Coralie en avait la chair de poule. – Et que je ne te vois pas poser le pied! hurla la surveillante. Lors du repas du soir au réfectoire, ni Coralie ni la surveillante n'étaient là. Hélène ne s'en aperçut que tout à la fin. Elle pensa que Coralie avait été privée de repas. Pourtant, la directrice aurait dit quelque chose, or, il semblait qu'elle ne soit pas au courant. Pourvu que la surveillante ne la punisse pas trop fort quand même, elle avait l'air tellement en colère. Il ne fallait pas que cela gâche la bonne blague... Dans le gymnase, Coralie recevait le martinet. Depuis plusieurs minutes, la surveillante la fouettait vigoureusement sur les fesses, les cuisses, les mollets et le bas du dos. La surveillante regarda ...
    ... alternativement le manche du martinet et le derrière rougi de Coralie. – Tiens, ça me donne une idée... Fous toi à genoux! La « punie » alla au coin et s'agenouilla, les mains sur la tête et les fesses sur les talons. – Bien, maintenant, avec tes mains, tu vas écarter tes fesses au maximum... Coralie obéit avec application, se redressa, dévoila son intimité anale et la surveillante s'avança, humidifiant avec sa salive le manche du martinet... Hélène tapa timidement à la porte du bureau de la directrice. Celle-ci l'invita à entrer. Hélène lui expliqua qu'elle se demandait si Coralie avait été punie par la surveillante. – C'est impossible, répondit la directrice, elle ne m'a pas signalée que Coralie devait être punie. Je le sais d'autant plus qu'elle m'a annoncée qu'elle prenait sa soirée. Rassures-toi pour ton amie, elle a été sage aujourd'hui... Hélène s'assied sur son lit, replia ses jambes et les serra dans ses bras, posant sa tête sur son front. La surveillante avait pris sa soirée et Coralie n'étais toujours pas rentrée. La surveillante n'avait pas prévenue la directrice de l'affaire du billet alors qu'elle aurait dû le faire. Quand elle avait quitté la chambre, Coralie avait été amenée dehors par la surveillante. Qu'est ce qu'elle pouvait bien lui faire? Pauvre Coralie... Hélène trouva la blague beaucoup moins bonne qu'en début de soirée... Dans le gymnase, la punition continuait de plus belle. Cette fois, Coralie avait été forcée de s'asseoir en tailleur. La surveillante s'installa ...
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