1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°566)


    Datte: 07/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°565 - Mais Aurélie se refuse pour autant à céder à la dépravation et son égo de femme de caractère qui sait ce qu’elle veut reprend le dessus… - A la fin, Monsieur d’Evans, Vous ne pouvez pas devenir un peu plus sérieux et moins concupiscent. Ne sommes nous pas là pour traiter d’une affaire qui porte sur plus d’un million d’euros ? Je me demande bien pourquoi nous avons été orientés vers vous par notre notaire, car vous me semblez plus farfelu que professionnel. - Détrompez-vous, Madame D…. ! J’ai une très bonne réputation de businessman et j’arrive toujours à Mes fins en affaires lorsque je suis intéressé par un projet. Et je ne parle là que de l’aspect professionnel, car J’arrive aussi toujours à Mes fins également dans la vie de tous les jours ayant une très grande connaissance des comportements humains. - Permettez-moi d’en douter encore ! Et que je sache, je n’ai pas encore dit « Oui » à votre proposition financière. - Vous auriez tort de refuser, il en va de votre intérêt, Madame D…. Il me semble important d’attirer votre attention. J’ai sous le coude d’autres propositions tout aussi intéressantes et je ne vais pas perdre plus longtemps mon temps avec vous, si cela ne doit pas aboutir dans les plus brefs délais. - Monsieur d’Evans, je ne fonctionne pas au chantage. Et si cette affaire ne vous intéressait pas vraiment, vous ne seriez pas en train de discuter, mais bien en train de vous occuper de ces ...
    ... soi-disant autres propositions tout aussi intéressantes. Monsieur le Marquis d’Evans apprécie de voir le caractère affirmé de cette femme qui résiste malgré la pression qu’il maintient pour tenter de la déstabiliser. - Parlons de choses sérieuses, Monsieur d’Evans. La pointe d’humour que vous n’avez pas saisie tout à l’heure et qui se voulait sarcastique, je suis désolée de vous le dire en face, venait du fait que je trouve votre proposition financière bien trop basse par rapport à la réalité du marché. - Je pense que vous vous trompez sur ce point là aussi, Madame D…. Le terrain vaudrait peut-être plus de par son seul emplacement géographique, mais la situation juridique dans laquelle vous vous trouvez de par votre mésentente avérée n’est pas à votre avantage. Vous ne pourrez pas me contredire sur ce point. J’ai proposé un prix qui a été validé de l’autre côté par Votre co-indivisaire. Je ne bougerai pas de Ma position. Apprenez sans détour que je ne suis pas un marchand de tapis qui a envie de faire du yoyo sur un prix de transaction. Vous pouvez dire « oui » tout de suite ou bien vous en aller. C’est à prendre ou à laisser ! La voix du Président Directeur Général est ferme et elle laisse peu de place aux tergiversations. Madame D….., habituée depuis longtemps à des négociations serrées, tente le tout pour le tout. Mais en face d’elle, se trouve un businessman, qui n’a pas non plus pour coutume de se laisser diriger contre Sa volonté, bénéficiant en outre d’une longue expérience de ...
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