À cocu, cocu et demi - Histoires de Sexe

À cocu, cocu et demi

... de me venger de lui. Et puis j’ai tellement été abasourdie aussi par Carole, ma meilleure copine, que je connais depuis plus de dix ans et qui n’a pas hésité à tromper notre vieille amitié… « Ah, la salope, me suis-je dit, je lui rendrai la monnaie de sa pièce ! » Alors voilà, j’ai décidé de me rendre chez toi comme à un rendez-vous d’amour en revêtant ma robe la plus sexy, celle que je n’ose même plus mettre, tellement elle excite les hommes… Tant pis pour les conséquences, me suis-je dit !— Je te comprends, j’ai eu exactement les mêmes réactions, le même désir de vengeance que toi. Alors pensons à autre chose. Pensons à nous…— Tu as raison. Aimons-nous. J’en ai très envie !— Tu sais, je voulais te dire… continuai-je, hésitant un peu.— … Tu voulais me dire quoi ? Alors, tout en continuant à caresser ses lèvres intimes du bout des doigts, je lui déclarai : — En fait, je te désire déjà depuis si longtemps… mais…— Mais tu avais des scrupules par rapport à Julien, n’est-ce pas ? Tu peux les oublier maintenant. Ce salaud est sûrement en train de baiser ta femme en ce moment, s’exclama-t-elle avec une vulgarité qui me surprit une nouvelle fois. Ce soir, Nathalie semblait se complaire dans cette vulgarité qui ne lui ressemblait pas. Encore une facette de sa personnalité que j’ignorais. Je mis ce relâchement verbal sur le compte de l’excitation sexuelle ; peut-être même que cela stimulait sa libido. Et comme pour appuyer ses dernières paroles, elle se mit à serrer plus fort ma ...

... bite, que je sentais à ce moment plus dure que jamais. — Oublie tout ça et pense plutôt que les infidélités de nos partenaires ont au moins eu la vertu de nous rapprocher… Moi aussi, tu sais, continua-t-elle sur le ton de la confidence… moi aussi j’ai toujours eu un penchant pour toi… J’ai toujours rejeté l’idée, mais elle revenait sans cesse comme une obsession. Mais maintenant que je me sens trahie par mon mec, ce n’est plus pareil. Je me sens libre !— Je ne m’en étais jamais douté… Si j’avais su, je n’aurais pas attendu pour te draguer, lui déclarai-je dans un éclat de rire.— Salaud ! me lança-t-elle en renforçant sa masturbation. Pour ma part, je continuais à m’activer autour de ses lèvres, désormais trempées de son désir. Déjà, son corps se tendait par moments sous mes caresses insistantes et elle ne cessait de gémir de plaisir. Elle était désormais en ma possession, sous mon pouvoir. Ivre d’excitation, je relevai brutalement sa robe, découvrant le peu qu’elle cachait encore. Son pubis alors m’apparut. Il était soigneusement taillé en triangle, montrant une légère toison brune. Je relâchai un peu la pression de mes doigts sur ses lèvres pour mieux admirer ce joyau qu’elle offrait à ma vue. Nathalie reprit peu à peu ses esprits et serra de nouveau énergiquement ma bite. Quant à moi, repensant tout à coup à ce qu’elle m’avait dit tout à l’heure au sujet de sa robe, maintenant relevée et toute chiffonnée sur son bas-ventre, je repris : — À propos, dis-moi Nath, pourquoi ...