1. À cocu, cocu et demi


    Datte: 07/06/2018, Catégories: 2couples, extracon, cocus, jalousie, dispute, noculotte, intermast, Oral pénétratio, champagne,

    ... croiser et décroiser d’un mouvement lent et calculé. Ça me rendait fou. Ce jeu de jambes incessant fit peu à peu remonter sa robe, qui ne cachait maintenant plus grand-chose de la peau blanche et lisse de ses cuisses. Nul doute que Nathalie faisait tout pour me troubler, nul doute qu’elle me provoquait, et son jeu de jambes ne me laissait pas indifférent non plus. Je pensai à cette minute que je n’aurai sûrement pas trop de mal à l’attirer dans mon lit. Mais n’anticipons pas. J’eus tout à coup très envie de caresser ses attirantes cuisses nues, mais une certaine gêne me retenait encore. Pourtant, l’envie fut plus forte que tout et je m’enhardis d’abord à pudiquement poser ma main sur son genou, mais je regrettai déjà stupidement mon audace, craignant un improbable refus. Et en effet, non seulement elle n’eut aucun geste de recul, mais elle plongea en moi un regard insistant et un tantinet provocateur qui semblait vouloir dire « Tout de même ! Tu te décides ! » Dans le même temps, sa bouche s’entrouvrit imperceptiblement, puis elle déclara tout à coup : — Embrasse-moi ! Cette demande, aussi soudaine qu’osée, me surprit beaucoup. C’était tellement inattendu venant d’elle, la belle Nathalie, qui m’avait toujours parue si indifférente. Finie notre belle amitié, elle voulait maintenant passer à autre chose, à une relation plus forte, en me déclarant clairement son attirance pour moi. Je fus d’abord déstabilisé et restai interdit pendant quelques secondes alors que mes pensées, ...
    ... elles, allaient à cent à l’heure : je me voyais déjà en train de lui faire l’amour. Pourtant, bien que j’aie ardemment souhaité cet instant, mon petit ange gardien trouvait que tout cela allait un peu trop vite : — Ce ne serait pas très raisonnable, Nathalie… tentai-je, toutefois sans grande conviction Mais mon trouble était tel que je me sentais déjà irrémédiablement tomber, tel un fruit mûr, dans ses filets de séductrice. Je découvris ainsi une autre Nathalie, inconnue de moi, bien plus charmeuse et aguicheuse que la sage copine que j’avais toujours connue. Elle porta le coup final : — Pourquoi serions-nous raisonnables ? Pense que ta Carole est peut-être en train de se faire sauter par mon Julien en ce moment, murmura-t-elle. Ses beaux yeux noirs m’hypnotisaient et annihilèrent bientôt le peu de volonté qui me restait encore. — Alors pourquoi rester raisonnables ? chuchota-t-elle. Embrasse-moi ! J’approchai alors lentement mes lèvres de sa bouche délicate et si bien dessinée. Dès qu’elles entrèrent en contact avec les siennes, ce fut un choc électrique pour moi. Je n’eus pas le temps d’ouvrir la bouche que déjà sa langue forçait le passage. Elle entoura mon cou de ses bras graciles tandis que sa langue explorait déjà mon palais avec gourmandise. Je répondis à ce baiser avec une fougue à la hauteur de sa fébrilité ; nos deux langues jouèrent entre elles en s’entremêlant avec une vigueur peu commune. En même temps, mes mains caressaient son dos nu ; sa peau était chaude, douce ...
«12...8910...22»