Nadine secrète... - Histoires de Sexe

Nadine secrète...

Elle sort de cette minable chambre d’hôtel complétement épuisée et rassasiée, jamais jusqu’ici elle n’avait laissé un homme faire d’elle un objet sexuel, même son mari n’y avait pas droit, c’est que jusqu’ici ce n’était qu’un fantasme secret, quelque chose d’inavouable que seul l’opportunité et la distance a permis. Elle est épuisée mais joyeuse, même si tous ses muscles lui font mal, si elle sent encore le sexe de cet homme en elle, que ses maxillaires sont douloureux à force de l’avoir sucé, que sa chatte la brule un peu, et que son cul lui donne l’impression qu’il est restait complètement ouvert. Elle n’en revient pas d’avoir osée, assise à la terrasse du café ou elle vient de s’arrêter, elle regarde plus vraiment la rue et les gens qui passent, elle se remémore chaque instant, chaque sensation, c’est tellement fort encore qu’elle ne veut rien oublier, et ça la réchauffe encore dans le bas ventre, presque elle se lèverait et irait aux toilettes se masturber si son clitoris lui aussi n’était si mal en point.Comme cet événement inattendu, ce retard de train de la SNCF est devenue un plaisir, 5h30 à attendre, sans cela elle n’aurait jamais fait ça, se serait restait un fantasme enfouie en elle qui ne ressort que dans l’intimité de sa chambre, en faisant l’amour avec son mari. Elle l’aime, depuis le premier jour, mais jamais elle ne lui avouera ses pensées les plus secrètes, trop peur peut-être qu’il la trouve dégoutante, perverse, qu’il ne la regarde plus pareil. C’est qu’il ...

... est gentil avec elle, trop d’ailleurs, jamais il n’abuse, il est presque trop respectueux, surtout si elle compare avec ses désirs secrets. C’est un romantique, amoureux d’elle, qui jamais n’a demandait de choses excentriques sexuellement, il est très classique, trop même. Il est comme ça, elle ne veut même pas le changer.Comparé avec ce qu’elle vient de faire c’est comme de passer d’une photo vaguement floutée légèrement érotique à une photographie pornographique hardcore sans limite. Et sa chatte qui la démange encore et que juste en croisant les jambes pour la comprimer la fait frissonner lui procure encore de subtiles sensations. Elle ne regrette rien et n’en laissera rien voir par la suite, ce qui est fait est fait et c’est bien comme cela, au moins elle l’a fait. Combien de fois elle en avait rêvé, qu’un homme se serve d’elle, l’utilise, fasse d’elle un jouet, soit carrément odieux et sale, elle venait enfin de le vivre, sur un coup de tête, avec le premier homme venu.Elle était là assise sur un banc dans la gare quand cet homme est venu lui parler, un draguer lamentable, moche et mal habillé. Il sentait la sueur, et était mal rasé, un air de mauvais homme, en tous cas sans timidité, arrogant même. Il a fait son beau devant elle, c’était très clair il voulait la baiser, c’est qu’elle a ses charmes et le sait, beaucoup d’homme la regarde avec envie, elle en est assez contente, fière même de plaire. Des lourdeaux elle en a vu beaucoup qui faisaient leur numéro de charme ...