Suis-je candauliste ?
Datte: 08/06/2018,
Catégories:
fhh,
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Partouze / Groupe
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... Jean-Yves, laissant percer un peu d’agacement malgré tout. Les vieux poncifs ont la vie dure. À décharge, on ne peut pas dire qu’on démarre sur les chapeaux de roues. La conversation est passablement laborieuse, nous en sommes à la météo quand Damien pointe sa dégaine de don-juan. D’emblée, je flaire la tornade. Le type est grand, plus d’un mètre quatre-vingt, il me rend dix bons centimètres, bien bâti, belle gueule, grande gueule même, il gouaille. — Alors c’est toi qui m’as chipé Annie, veinard, va ! Elle t’a dit que nous avons été ensemble… Ouais, bon… Alors comme ça, t’as des fantasmes. T’es un candauliste, quoi ? J’ai lu des trucs comme quoi ces mecs étaient heureux qu’on baise leur femme. Ben moi j’suis d’accord, aboie-t-il d’une voix de stentor. Je ne sais pas où me mettre. Par chance, le bar est désert mais je suis sûr qu’il n’aurait pas moins gueulé s’il y avait eu du monde. D’évidence Annie l’a bien briefé. Je reprends place dans mon fauteuil. Damien de son côté s’encastre à côté d’Annie. — Pardon, pardon, consent-il en bousculant celle-ci. Puis, tendant le museau vers Jean-Yves :— tu fais un peu de place s’il-te-plait. Ce type est proprement insupportable, je me demande comment Annie a pu en tomber amoureuse. Et j’ai encore rien vu, il attaque bille en tête. — Tu permets ! demande-t-il en m’adressant un regard de connivence avant de se placer pour embrasser Annie. Celle-ci semble d’abord réticente, puis elle s’abandonne et rend le baiser. Elle ne montre pas ...
... plus de résistance lorsque Damien entreprend de caresser sa cuisse et remonte doucement vers la hanche puis la fesse, donnant ce faisant à voir plus qu’il n’aurait été convenable si nous n’étions pas entre nous. Le mâle ne s’y attarde pas longtemps et abandonnant en l’état le désordre qu’il a créé, il s’en va glisser les doigts et la main toute entière dans le bustier, du côté qui lui est le plus accessible, dégageant dans la foulée, d’un simple mouvement du poignet, l’intégralité du sein tout en continuant à le pétrir avec constance. Tout ceci, sans jamais interrompre son baiser, bien entendu. L’entrée en matière à la hussarde n’est pas trop pour me plaire. De même, j’aurais autant aimé qu’Annie ne se montre pas d’emblée aussi soumise. Je ne sais pas ce que je veux, allez-vous dire et vous aurez bien raison. Je ne sais qui des deux, demande grâce le premier, toujours est-il que les lèvres se séparent. Damien rengaine ses mains, rajuste la position. Annie reprend son souffle, le sein toujours à l’air. Elle les a plutôt menus mais bien plantés, bien formés, presqu’arrogants, d’une couleur laiteuse qui tranche avec le hâle de la gorge. Le tétin, affiche une nuance rosé sur un brun légèrement plus clair que le brun de l’aréole alentour. Il luit et pointe hardiment. Des qualificatifs désobligeants me viennent à l’esprit, du ressort de l’effronterie et de l’impudence. Et peu importe que le pauvre tétin ne soit qu’un bouc émissaire, il est bien aussi impudent et effronté que sa ...