1. Les plaisirs nouveaux d'un couple mature (3)


    Datte: 21/07/2017, Catégories: Divers,

    ... le clito, deux doigts la fouillant, je la baise. J’imagine la queue de l’autre… Au bureau ! Et tu n’as pas eu peur ? Plus personne….. Il se protège ? Oui.. Quel plaisir j’aurais à retrouver sur ma langue les traces de son amant ? Je l’ignore. Je glisse entre ses jambes, ma bouche trouve son sexe à la recherche de son puit d’amour. Sous ma langue, c’est bien le goût du lubrifiant que je reconnais. J’écarte ses lèvres, trouve son clitoris. Il est gros. Ma langue l’agace Mes doigts baignent dans son jus, Je me hasarde entre ses fesses, elle se laisse faire. Je sais ce qu’elle aime. Deux doigts devant, un doigt derrière. Je fantasme à ce sujet. Elle le sait .Lui faire l’amour pendant qu’un autre la baiserait. C’est cru de parler ainsi, mais cela fait partie de nos petits jeux ! Certains penseront que Nicole cache bien son jeu et que c’est une femme facile ! Sur ce premier point, sûrement. Elle ne laisse rien transparaître de ce qu’elle est au lit. Une femme très sage pour qui la croise. Pour le reste, non. Nous avons des fantasmes communs. Dès le début de notre union, à l’occasion de nos premières vacances passées ensemble j’ai aimé qu’elle se fasse reluquer sur la plage et plus tard, lorsque faisant l’amour j’ai évoqué cette scène, j’ai compris que cela l’excitait aussi. C’est dès lors devenu un jeu complice que ce soit sur la plage où sans trop de difficulté je suis parvenu à l’attirer dans des lieux naturistes ou même lorsqu’au bal du camping un danseur la serrait d’un peu ...
    ... trop près. Ces épisodes ont toujours accompagné notre sexualité et j’ai toujours fait en sorte qu’elle en jouisse. Ce qui a changé entretemps c’est que si à l’époque ses amants virtuels avaient plutôt les tempes grisonnantes aujourd’hui il n’avait pas 30 ans.. Mais aujourd’hui aussi, les circonstances faisaient qu’elle n’avait pas seulement besoin de tendresse. Et lorsque je lui demande : Tu as joui ? Oui Et c’est ce qui lui manquait à Nicole. Je n’assurais plus. Plus assez ! Pas assez longtemps. Pendant des années, elle s’était crue clitoridienne jusqu’au jour où elle a découvert le plaisir autrement et son amant remplaçait honorablement les artifices que nous utilisions habituellement. Je sens sa main qui cherche ma queue. Oui, je bande ! Elle me branle. Montre-moi comment tu l’as sucé ! Je sais qu’elle n’y résiste pas. Je quitte son ventre et approche ma queue de sa bouche. Elle avale tout de suite. Salope comme j’aime ! Avec persévérance, au fil des années j’ai fini par la libérer de ses préjugés et si elle pratiquait la fellation avec un certain talent et appréciait que sa poitrine soit généreusement arrosée, elle ne rechignait pas à aller jusqu’au de mon plaisir. Peut-être même celui de son amant. Je n’en doutais pas. C’est bon mais j’ai besoin de savoir ! Je l’embrasse, mes lèvres courent sur sa gorge, sa bouche. Elle ondule, contracte son ventre autour de mes doigts. Elle n’est pas rassasiée, je sais. La culotte ? Il l’a gardée. Il lui rendrait la prochaine fois... Pour ...