1. Un Amour 2


    Datte: 08/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    J’écoutais le chant des oiseaux à l’extérieur de la maison. Le soleil venait de se lever et les premiers rayons perçaient les volets. Je n’avais pas du tout envie de quitter mon lit. Malgré une bonne nuit de sommeil je me sentais encore fatiguée, sans doute à cause de ce rêve étrange.La scène s’était déroulée ici même, dans l‘obscurité la plus totale. Je me trouvais sur mon lit, complètement nue et les cuisses grandes ouvertes. Un homme était penché au-dessus de ma tête, son pénis glissait à tort et à travers dans mon vagin. Je subissais les assauts maladroits de mon partenaire, hélas, sans ressentir le moindre plaisir malgré mes efforts pour le guider. Je feignais quelques cris avant d’actionner la lampe de chevet pour voir son visage. Je poussais alors un grognement de mécontentement en découvrant qu’il s’agissait de mon ancien petit ami. Tu parles d’un rêve ! Je tentais de me dégager mais il m’en empêcha, me clouant au lit. Furieuse, je lui adressais de grands coups de bassin mais il semblait apprécier cela et s’enfonça dans mon ventre avec encore plus d’empressement.J’essayais de me tirer de ce mauvais pas mais je ne parvenais à aucun résultat, apparemment prisonnière de mes songes. Je me résignais à mon triste sort quand quelque chose d’incroyable se produisit. La tête de mon ex venait de disparaître, aussitôt remplacée par celle d’un cheval. Dans le genre loufoque on ne faisait pas mieux. Je me suis pincée très fort avant de me souvenir qu’il ne s’agissait pas de la ...
    ... réalité. Waouh ! Du cheval il n’y avait pas que la tête ! Je sentais à présent un sexe énorme se frayer un chemin entre mes petites lèvres. Il était encore plus gros que celui de Caramel. Chose que je croyais impossible mais comme il s’agissait de mon rêve… Mon compagnon administrait des grands coups de butoir, cognant dans le fond de ma grotte et me procurant des cris de jouissance d’une rare intensité.Enfin, j’avais ma part de plaisir ! Je croisais les pieds autour de ses reins pour imprimer le rythme, cependant, il allait si vite que je n’arrivais pas à suivre. Je jouissais à n’en plus finir, telle une démente. Je gémissais à chaque pénétration, le dos arqué, un feu d’artifice retentissant dans mon ventre. Je brûlais de désir, au propre comme au figuré.Par la suite, mon partenaire a replié mes cuisses contre ma poitrine, m’ouvrant la chatte en deux. Au bout d‘un moment, il se retira. Sa bite s’agita nerveusement sous mon nez, prête à lâcher toute la sauce. Diable, elle était incroyablement longue ! L’homme à tête de cheval poussa un cri strident lorsqu’il m‘inonda le visage. J’ouvrais la bouche en grand afin de recueillir le plus de nectar possible. Et c’est à ce moment précis que je me réveillais… (Zut)Je restais immobile, bien décidée à ne pas bouger du lit. Le réveil posé sur la table de chevet affichait 10h00. Julie serait là d‘une minute à l‘autre. Je repoussais donc les draps sur le côté avant de prendre la direction de la salle de bain. Ce rêve étrange occupait ...
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