1. Ma chère belle-soeur


    Datte: 09/06/2018, Catégories: ff, fbi, vacances, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral initff, Masturbation

    Je fais partie d’une fratrie de quatre enfants. J’ai deux frères et une sœur. Mon prénom est Patricia, j’ai 35 ans, je travaille dans une boîte de pub à Paris et suis mariée à Gilles qui est ingénieur en aéronautique. Nous avons deux enfants. J’ai une vie active mais simple et je me sens très bien avec mon mari, aucun nuage de part et d’autre. Juste qu’il part souvent à Toulouse pour son travail et me laisse seule avec les enfants, mais c’est un choix. Mon frère François est marié avec Nelly, 36 ans, et ils ont trois enfants. Je suis très proche de mes frères et de ma sœur, souvent nous partons en week-ends ou en vacances ensemble. Il y a trois ans, nous sommes partis avec mon frère et sa famille en vacances pour trois semaines. Nous avions loué une maison à Saint-Jean-de-Luz. — x X x — Comme d’habitude, les journées sont ordonnées, les femmes font les courses et les repas et les hommes la vaisselle. Après les repas, les enfants font la sieste et, un jour sur deux, soit les femmes, soit les maris, gardent les enfants, pendant que les autres vont à la plage. Après la fin de la sieste, tout le monde se retrouve à la plage. Je mesure 1,70 m, je suis châtain, j’ai une belle poitrine sans pour autant avoir de gros seins. Nelly, elle, est un peu plus petite que moi, mais possède une poitrine plus importante que la mienne, sûrement due à ses trois grossesses et l’allaitement de ses enfants. Je m’entends très bien avec elle et je suis toujours ravie de la voir. Et c’est ...
    ... réciproque. Un matin au début de notre séjour, nous sommes allées, Nelly et moi, faire les courses, et pour neuf personnes, ce n’est pas simple. Dans les rayons du supermarché, le téléphone de Nelly a sonné : en décrochant et en disant bonjour à son correspondant, j’ai senti Nelly gênée. Elle s’est écartée de moi et je la voyais rire avec un visage joyeux. Continuant les courses, je me suis approchée d’elle et je l’ai entendu dire « Je t’embrasse, moi aussi j’ai envie d’être avec toi ». J’ai été très étonnée car François était à la maison avec Gilles et les enfants. Le reste de l’après-midi s’est passé normalement. Ce n’est qu’en préparant le repas du soir que j’ai trouvé Nelly bizarre avec moi. Elle était rieuse, gaie, joyeuse, frivole, ce qui ne lui correspondait pas complètement. Dans la cuisine en faisant à manger, je la sentais qui me frôlait, qui me souriait, et au bout d’un moment, j’ai remarqué qu’elle avait dégrafé un bouton de plus de son corsage, laissant voir la naissance de sa poitrine. En passant à table, je remarquai qu’elle avait changé de place avec son mari et était juste en face de moi. Au bout d’un moment en levant les yeux, je m’aperçus que Nelly me regardait toujours avec un petit sourire au coin de ses lèvres. J’étais gênée. Le reste du repas fut agréable, Nelly était souvent hilare et nous faisait rire. J’allai coucher les enfants et montai dans la salle de bains. Quelques instants après, j’entendis : — Patricia, c’est moi Nelly, je peux entrer ?— Oui, ...
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