Éveil à la sexualité
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
f,
fh,
ff,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
plage,
odeurs,
Masturbation
Oral
confession,
initiatiq,
prememois,
initff,
Lesbienne
... son beau cul rebondi et toutes les autres parties de son corps. Elle ne fut pas longue à reprendre son souffle. Alors j’ôtai moi aussi mes vêtements et me mis à califourchon au-dessus de la tête, lui offrant mon sexe à sa vue et à sa langue, qu’elle agita tout de suite. Moi, dans cette position, je pus m’occuper de ses seins, que je caressai, que j’agaçai, que je pétris. Ses mouvements autour de mon sexe et de mon cul étaient absolument divins. Elle y mit la langue, les doigts sans retenue. Pourtant je résistais pour ne pas jouir immédiatement. Mélanie avait commencé à m’initier pour retenir mon plaisir afin qu’il soit plus intense. Ainsi lorsque j’explosai, la jouissance était beaucoup plus violente, plus agréable ; c’était comme un rayon qui me traversait de part en part me vrillant le corps ; je vibrais alors de tout mon être obtenant une osmose à la fois douloureuse et douce comme de l’ouate. Le plaisir irradiait ma tête, mon ventre, mes seins, mon sexe et même mes jambes qui devenaient incontrôlables. Avant de jouir, nous nous élancions vers la chambre et c’était sur le grand lit que nous continuions nos ébats. Nous collions nos chattes l’une à l’autre, sexe contre sexe ; par un doux mouvement, nous nous branlions ainsi mutuellement. Il ne fallait plus attendre très longtemps ...
... dans cette position pour atteindre le firmament. Nous explosions conjointement, une explosion de nos entrailles. Après cette irradiation, nous nous enlaçâmes tendrement. Nous nous endormîmes ainsi, dans les bras l’une de l’autre. Lorsque je me réveillai, il faisait nuit noire, pourtant la lampe du couloir était restée allumée et éclairait la chambre. J’eus l’idée de recueillir dans mon sexe un peu de mes sécrétions. Je passai ce doigt humide sous le nez de ma maîtresse alanguie. Ses narines palpitèrent et elle soupira. Alors je portai ma bouche à ses seins, voir si je pouvais ainsi exciter ses beaux mamelons sans la réveiller. J’y allais tout en douceur, avec le bout de la langue, par petites touches. Les pointes s’érigèrent, la poitrine durcit et ma compagne gémit doucement. Je me disais que le sexe pouvait lui aussi subir le même traitement durant son sommeil. Ayant les jambes ouvertes, je ne trouvai aucune barrière pour accéder à sa douce toison. Enfin j’allai à la découverte de ses lèvres intimes qui se couvrirent rapidement de cyprine. Mélanie m’avoua s’être réveillée alors que je m’occupais de son sexe, mais avait choisi de me faire croire qu’elle dormait encore, tant mes léchouilles étaient délicates et agréables. Elle ne voulait pas briser cette douce sensation. (À suivre…)