Pas de shopping au sex-shop
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
fépilée,
sexshop,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
totalsexe,
... c’était bien par terre qu’il voulait me voir. Et c’est par terre que je me suis installée. Une fois les quatre membres posés sur le sol, j’ajuste la posture en me cambrant, et j’attends. Je sens les hommes m’entourer. J’ignore combien ils sont. Je ne peux pas dire exactement quelles sensations je ressens. En tout cas, pas ces picotements familiers de mon bas ventre ou mes pointes de seins, ces frissons classiques qui me parcourent en général. C’est tout à fait différent et plutôt cérébral à ce moment-là. Je me sens vraiment chienne. Salope. Oui, c’est aussi le mot. Sans doute que si j’ai l’occasion de revivre cette situation, l’excitation sera différente et identifiable. Je l’entends me présenter comme un camelot sur le marché. Je suis incapable de répéter ses mots mais j’en connais bien le contenu ! Il me longe, passe derrière moi et s’agenouille pour venir me prendre en levrette. Ses mains caressent mon dos avant de guider sa queue en moi, de venir s’agripper à mes hanches. Commence alors notre premier rodéo devant des voyeurs qui se caressent par-dessus leur pantalon. Thierry me tringle sans retenue, me baise copieusement, des queues apparaissent. Je ne vois pas le signe mais il autorise un homme à venir devant moi présenter son sexe, je le suce… Ensuite c’est le trou noir, tout semble s’enchaîner très vite. Je ne sais plus comment je me suis retrouvée à genoux tournée dans l’autre sens pour recevoir le sperme d’un homme ravi sur ma poitrine. Intense moment d’émotion. ...
... Je ne sais plus si c’est avant ou après que jouissant de la queue de mon amant j’ai lâché celle que je suçais pour agiter la tête et rencontré un peu violemment celle de l’homme au bout… Je me suis excusée en lui caressant le visage. Instant fugitif où une réelle sensualité s’est manifestée. Thierry n’a cessé d’envelopper ces ébats des mots crus dans le style littéraire dont il a le secret. Il m’a invité à rejoindre le canapé pour me masturber face à eux. Encore une épreuve ! — Je n’ai pas bien compris où il faut que j’aille.— Là, sur le canapé si monsieur veut bien se déplacer ! Il connaît ma pudeur concernant ce geste intime et voilà que maintenant il veut que je l’offre à des yeux inconnus ! Alors qu’entre hommes, tout à l’heure, ils s’étaient faits la réflexion de mon extrême humidité intérieure, je me sens toute sèche. Il se tient à ma droite, et comme un bateleur, m’offre en spectacle. — Dis-nous ce que tu fais, ce que tu as dans la tête ! Salaud ! Tu ne crois quand même pas que je vais délivrer au premier quidam venu les secrets de mon intimité. Je me retrouve comme l’écolière interrogée face au groupe avec un grand vide dans la tête… Et pourtant j’avais appris ma leçon, je vous assure ! Je tente de botter en touche, m’échapper. — Sept fois six… Oui je récite mes tables ! Imperturbable, sans un mot, il me fait comprendre que le subterfuge ne fonctionne pas. Je ne peux pas m’en sortir ainsi ! Il faut vite que je trouve quelque chose à dire comme lors de mes examens au ...