1. Le dimanche où tout a basculé (1)


    Datte: 10/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Cette histoire est réelle, ce qui fait que les noms et les lieux ont été bien entendu changé. Nous en avions parlé de temps en temps, mais sans aller plus loin....Je m’appelle Jacques et je suis marié avec une blonde opulente que tout le monde appelait Maryline à cette époque, c’est vous dire, vous voyez donc a quoi elle ressemblait à ce moment là de notre vie, après 15 ans de mariage et deux enfants......On la remarquait, c’est le moins que je puisse en dire. Ce dimanche après-midi, après déjeuner, nous prenons la voiture pour faire un tour, nous en profitons car les enfants sont chez ma belle mère, elle pleure assez pour les avoir et nous pour une fois nous serons au calme. Je me souviens que c’est une période ou notre libido était relativement exacerbée, nous avions ça à fleur de peau, il suffisait que je lui touche le bras pour qu’elle mouille disait elle à ses copines... Nous voilà donc parti dans la ville de T. distante d’une quarantaine de kilomètres, voir une sorte de défilé sur la Place de l’hotel de ville. Il fait un super temps, et il y a plein de monde, on prend un verre en terrasse après le défilé, le pied quoi.... Il est 18 heure — on y va ? Dis-je en laissant un pourboire sur la table. -oui, si tu veux. Répondit Maryse, d’ailleurs il était bien rare si ne n’est jamais , de l’entendre contester quelque chose venant de ma part, soumise Maryse, avec un caractère rentré, mais du caractère quand même. Nous voilà sur l’autoroute et je doit dire que j’ai ma petite ...
    ... idée. — j’ai envie de pisser, ça t’ennuie si on s’arrête au prochain parking ? — non, si tu veux, fais toi plaisir... Elle est de bonne humeur depuis ce matin, faut dire que je lui ai fait le grand jeu, devant , derrière , pendant une bonne vingtaine de minutes que je l’ai besognée ma petite chérie, les enfants n’était déjà pas là, partis hier soir, alors elle ne s’est pas retenue comme d’habitude et elle à gueulée et plus elle crie plus ça m’excite elle le sait , bref je lui en est mis plein son cul comme on dit. Je met le clignotant et m’engage dans ce parking avec les toilettes sur le coté nord , on s’arrête un peu avant car je n’aime pas ces toilettes d’autoroute qui puent. Il y a quand même pas mal de voitures et une dizaine de types vont et viennent à droite et à gauche, je devine toute de suite à quels genre on a faire, à cette époque ce genre d’endroit n’étaient pas réservé comme maintenant aux homos, il s’agissait pour la plus grosses partie, d’hétéros. Je descend et fait quelques pas vers un buisson et je fais ma petite affaire en deux minutes puis je revient vers la voiture. En revenant je l’observe à travers le pare brise, elle est belle dans sa quarantaine, vendeuse de bonbons de son état, elle a ses long cheveux blonds qui cascadent sur ses épaules, elle a un chemisier blanc , ouvert comme d’habitude sur ses gros globes laiteux et on voit ses tétons pointer à travers, je n’en revient pas, elle est excitée comme une puce c’est pas possible me dis -je ? Je monte dans ...
«1234»