La chambre d’hôte. 3/3
Datte: 11/06/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... plaisir. Puis un doigt s’insinua dans le con qui ne demandait que ça, puis deux doigts, puis trois. Sarah se cambrait, se tortillait à son tour comme l’avais fait Virginie sous les assauts de la jeune femme. Elle s’arrêta, les deux mains de chaque côté de la tête de Sarah juste au-dessus d’elle et l’embrassa vigoureusement. Une main glissa sous l’autre oreiller, elle sorti un gode ceinture. J’en croyais pas mes yeux, c’était plus que je n’aurais espérer. Une fois le gode en place, elle le plaça à l’entrée du volcan de Sarah, brulant et faisait couler sa lave sur les draps, il n’allait pas tarder à entrer en éruption. Elle cria violemment quand le gode l’emplit d’un coup sec jusqu’au fond. Puis Virginie commença les allers-retours extirpant des gémissements de plus en plus fort ainsi que des cris de plaisir de la bouche pourtant si menue de la jeune demoiselle. Elle se cambra, submergé par l’orgasme bon et violent qui la traversa le souffle coupé, un silence, puis dans un long râle de bonheur et retomba sur le lit apaisée. C’est là que je compris que les femmes savaient se donner plus de plaisir qu’un homme le pouvait et je me demandais ce que je pourrais leur procurer après ça. Elles s’étaient mises sur le dos toutes les deux, Virginie avait enlevé le gode ceinture et elles m’avaient laissé une place entre elles, me faisant signe de la main de les rejoindre. Je ne me fis pas prier. J’étais assailli de toutes parts par des baisers sauvages, des mains qui couraient sur mon ...
... corps, sur ma bite. A ce stade les préliminaires n’était pas de mise, alors Virginie vint s’empaler sur moi, elle n’avait plus un poil de sec au-dessus de sa grotte. C’était bon de la sentir coulissé jusqu’à ce qu’elle soit assise sur mes cuisses et encore meilleur quand elle commença à monter et descendre sur mon chibre encore humide de leur salive et de mon sperme de toute à l’heure. Pendant qu’elle baisait ma queue, Sarah alternait entre Virginie et moi pour nous donner sa langue à sucer ou ses petits seins adorables. Je sentais le plaisir monter pour ma cavalière, elle commençait à se cambrer en arrière respiration rapide et saccader, pour finalement jouir serrant et inondant ma queue de son jus chaud finissant de trempée mes poils également. Elle se redressa m’embrassa, se retira de ma queue, toujours raide. Et j’entendis. - Viens pars là maintenant. C’était Sarah, les cuisses grande ouverte, qui attendait son tour. Elle se frottait le bouton, sa chatte luisait comme le verre au soleil. - Prend moi fort, comme une bête, défonce moi, je veux que tu te déchaine en moi. La petite garce allait prendre chère, je m’allongeais sur elle, pesant de tout mon poids, la fourrant jusqu’aux couilles, elle cria. J’allais et venait, mon torse frottant ses petits seins, soufflant dans son cou comme une bête, mon bassin donnait de grands coups, la poussant de plus en plus vers la tête du lit. Elle n’en pouvait plus criait de plaisir, me demandant de la baiser encore plus fort. C’était trop, ...