1. Notre histoire - Première partie


    Datte: 11/06/2018, Catégories: grp, couple, extracon, cocus, Collègues / Travail piscine, échange, confession, couple+f,

    ... doigts de sa chatte, totalement épilée également. Je voyais ses doigts luisants de ses secrétions aller et venir entre ses lèvres gonflées tandis qu’il la caressait sur tout le reste du corps de son autre main Sylvie gémissait de plaisir et avoir un spectateur auprès d’elle ne semblait pas la gêner, mais au contraire l’exciter d’autant plus. Nos regards se croisèrent quand je vis Stéph parler à son oreille en me souriant. Elle s’approcha de moi sans mot dire et prit mon sexe en bouche sans autre forme de procès. J’étais interdit, ne bougeant pas et n’essayant pas non plus de la dissuader. Stéph continua de la pénétrer de ses doigts puis enfonça son sexe en elle tandis qu’elle poursuivait sa fellation. Elle savait s’y prendre et je vivais mon premier trio, même si ce n’était pas celui que j’avais rêvé. Stéph lui murmura à nouveau à l’oreille et Béa vint au-dessus de moi. Me chevauchant elle prit mon sexe en main et elle le fit pénétrer lentement dans son sexe. Elle commença alors de longs et profonds mouvements de va-et-vient, gémissant les yeux fermés. Je la regardai, vis mon sexe s’enfoncer dans sa vulve glabre, comme s’il s’était agi d’un autre. Elle se retourna et, de dos cette fois, elle s’empala à nouveau sur ma bite dressée. J’avais son petit cul bien rond sous les yeux et voyais distinctement son œillet plissé chaque fois qu’elle se penchait un peu. Je la sentais de plus en plus mouillée. Ma queue luisait de ses secrétions vaginales. Je lui dis que j’allais bientôt ...
    ... venir. Elle se retourna à nouveau, prit mon sexe en bouche, et me branla jusqu’à ce que je jouisse. Elle avala ma semence puis embrassa Stéph avec qui elle partagea ce goût. J’avais vécu tout cela de façon irréelle mais aussitôt après avoir joui je repensai à Anne que je devais rejoindre et que j’avais laissée seule plus longtemps qu’une simple douche. Je remerciai aussi bien et aussi vite que je pus mes deux amis, qui avaient aussi apprécié, et me dirigeai vers notre chambre. La lumière était éteinte et Anne dormait déjà. Je me glissai le plus silencieusement possible entre les draps et m’endormis aussitôt contre elle. Le reste du week-end fut tout à fait normal et nous prîmes le dimanche soir la route du retour. À peine avions-nous fait quelques kilomètres qu’Anne se tourna vers moi et me demanda si j’avais quelque chose à lui dire. Je pâlis et lui dis que non. Elle éclata alors, entre sanglots et colère, me disant qu’elle savait parfaitement ce que j’avais fait avec Sylvie. J’étais un salaud, un porc, un dégueulasse… Je ne pouvais et ne voulais pas ajouter le mensonge à ce que j’avais fait. Je lui confirmai donc ce qui s’était passé, mais en avait-elle besoin ? Je lui dis, ce qui était vrai, que j’avais été pris par surprise et que, pendant quelques instants, je n’avais plus pensé à elle. Je lui disais l’avoir aussitôt regretté mais comment pouvait-elle me croire ? Je lui disais que je l’aimais toujours, ce qui était vrai, et que je n’avais pas voulu la tromper, ce qui était ...
«12...4567»