Plaisirs indécents (1)
Datte: 11/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pub du coin. Cette invitation m’a tellement surprise que je n’ai pu accepter en prétextant devoir récupérer mes enfants qui m’attendaient chez la nounou. Ce soir-là, sur la route du retour, je n’ai cessé de penser à cette proposition. Des questions sans réponses fusaient dans mon esprit : — Était-ce une invitation sans arrière-pensée, en toute camaraderie ? Pourquoi voulait-il passer encore du temps avec moi après le boulot ? Il n’oserait tout de même pas imaginer quoi que ce soit, il sait que je suis mariée ! Avait-il remarqué mes regards répétés vers lui lorsqu’il travaillait ? Quelle idiote, pourquoi n’ai-je pas accepté cette invitation alors que j’en avais envie ? Il n’allait tout de même pas me manger ! Le lendemain matin, à l’embauche, alors que nous étions tous devant la machine à café, Eric m’a demandé si je pouvais lui accorder cinq minutes pour lui monter une subtilité qu’il ne maîtrise toujours pas sur notre logiciel de gestion. Une fois la manip informatique acquise, Eric a profité de ce que nous soyons seuls et à l’écart pour me relancer : — Et le midi, tu es libre ? Nous pourrions aller manger un morceau ensemble à l’extérieur. — Toi ça ne te pose pas de problème, tu t’absentes souvent le midi pour aller faire du sport, mais moi, ça fait des années que je mange avec eux, que vont-ils penser ? — Si réellement ta retenue n’est autre que ton absence vis-à-vis des collègues, tu n’as qu’à leur prétexter un rendez-vous important. Je ne voulus pas une nouvelle fois ...
... regretter d’avoir refusé une telle proposition. — Bon, ok pour ce midi, je prétexterai une course importante à faire. — Très bien, on se retrouve au snack au bout de l’avenue ? — Ok. Durant la matinée, je me découvrais assez excitée à l’idée de me retrouver en tête à tête avec Eric, de nombreuses questions envahissaient mon esprit mais je savais que j’allais obtenir des réponses dans une poignée d’heures. Installés à table devant nos salades, contrairement à moi, Eric était très décontracté, il me posait beaucoup de questions comme si il voulait tout savoir de moi au-delà de ce qu’il avait déjà appris lors de nos pauses du midi en salle commune. J’étais de plus en plus détendue, son attitude me mettait à l’aise, mais je restais par ailleurs très troublée par son physique de beau gosse qui aurait pu jouer dans une pub pour coca. Petit à petit et de façon très subtile, ses questions se sont faites plus personnelles, plus intimes, à la limite de l’indiscrétion, mais je me prenais au jeu et lui répondais volontiers. Nous avons passé un moment très agréable, et contrairement à ce que j’avais pu imaginer, même si ces discussions étaient parfois ‘border line’ c’est avec une petite pointe de regret que j’ai constaté qu’il ne m’avait fait aucune avance. Ce n’est pas que j’aurais accepté sa proposition, loin de moi cette idée, mais j’en aurais été tout de même flattée. C’est une semaine plus tard, alors que nous étions isolés devant la machine à café qu’Eric m’a proposé un autre repas ...