1. 47.2 La sieste, le Mojito et la bière avec Thibault.


    Datte: 22/07/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... du plan avec Romain… le même malaise, bien que pour des raisons à priori différentes... et encore… la cigarette fumée par le beau mécano... image très sexy mais pas du tout le genre de Thibault non plus... le premier rapprochement entre mâles, de leurs corps... déjà vu à l'identique, mais avec Romain en vrai dans le rôle onirique de Thibault... la façon de Jérém de se pencher sur la queue de Thibault.... imaginée à l'identique, encore en présence de Romain... la façon de Jérém de poser la main entre les pecs de son pote pour lui annoncer son intention de le prendre... là aussi comme un petit rappel d’épisodes précédents... et tout cela sans compter... l'absence de détails de l'anatomie de Thibault, une anatomie que je ne connais pas... Oui, quelque chose clochait dans cette « scène » depuis le début. Tout était si infiniment, insoutenablement, presque douloureusement beau… scène infiniment parfaite, fabuleuse, mais scène trop parfaite pour être honnête, pour être « vraie »… Un truc de fou, sauvage, puissant, torride, brûlant… et à la fois tendre, touchant... toute l’expression la plus absolue de l’érotisme le plus puissant, infini frisson de beauté, définition même de l’amour entre garçons… ainsi, la beauté de cette scène avait suffit à me faire ignorer tous les signes discordants et à seconder mon envie d'y croire... Dans les rêves tout est possible, et un rêve est toujours plausible pendant qu'on est dedans, même s’il n'est pas réaliste...d’autant plus lorsque le rêve ...
    ... est si agréable à vivre... Pendant que j'allais tout droit vers ma sieste, loin d'imaginer que j'allais rêver d’un bon gros fantasme de sexe entre deux beaux rugbymen, je pensais à mon beau brun... je pensais non seulement à sa nudité d'une beauté aveuglante... non seulement à sa virilité puissante dont le souvenir persistait dans ma tête, dans mon corps, dans le bien être que connaissaient l'une et l'autre après les multiples plaisirs récents, dans mon envie toujours brûlante, malgré de bonnes courbatures dans des régions sensibles... Oui, en m'allongeant dans mon lit, je pensais à mon beau et vaillant Jérém, au moins aussi fatigué que moi, levé avant moi, obligé de jouer un match important, un match de demi finale de championnat... Bien sur, après qu'il m'ait parlé de cette façon si émouvante de sa passion pour le rugby, de ce que représentait pour lui ce sport autour duquel il s’était grandement construit, il aurait était logique et bienvenue que j'aille le voir jouer ce dimanche après midi, que j'aille assister à son triomphe dans cet avant dernier sas avant la finale de la semaine suivante... Pourtant, la fatigue a eu raison de moi… elle a eu raison de la tentation d’aller voir jouer mon Jérém, du plaisir de le mater évoluer sur un terrain de sport entouré de mecs l’admirant, le jalousant ou encore le redoutant… de le voir dévoré du regard par une foule de jeunes filles criant à tue tête et mouillant la culotte tout en pensant au fameux sketch de Bigard… le lâcher... ...
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