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Liens d'amitiés (1)
Datte: 12/06/2018, Catégories: Gay
Amis depuis leur plus tendre enfance, et en pension dans des lycées différents, Jean et Éric sont inséparables lorsqu’ils se retrouvent pour les vacances. Eric est un gars plutôt costaud, un peu bourru. Avec son mètre quatre-vingt et ses quatre-vingts kilos, il domine largement son ami Jean et son petit mètre soixante-dix et ses cinquante kilos. — J’en ai des nouveaux ! glisse Eric dans l’oreille de Jean — Ils sont bien ? dit Jean alors qui sent déjà les prémices d’une belle érection. Il ne peut s’empêcher de se passer la main sur son entrejambe, sous le regard lubrique de son ami. — Je les ai récupérés hier soir... — Et tu t’es déjà bien branlé en les matant ! — Oh oui ! En pensant à ta belle queue ! — Ils sont bien ? — Je pensais à ton petit cul aussi ! ajoute Eric en passant sa main rapidement sur le bas du dos de son ami. Ils sont assis dans un coin tranquille du square et peu de monde se promène en ce début d’après-midi. Ils ont toujours été très discrets même s’ils aiment tous les deux se faire des petites gâteries dans des lieux plus ou moins ‘’publics’’. — Ton oncle va finir par se rendre compte de quelque chose. — T’inquiète pas ! ajoute Eric en empoignant le sexe de son ami au travers de son pantalon tout en surveillant les alentours. Tu bandes fort dis-moi... t’es en manque... dit-il en malaxant le paquet de Jean qui a ouvert les cuisses. — Tu vas me faire gicler dans mon froc ! lâche Jean avant de gémir. Eric glisse un doigt entre les boutons de la braguette. — ...
... Evidemment tu n’as pas mis de slip ... — Tu sais bien que j’en mets jamais ! — Et au bahut, tu fais comment ... t’en mets pas non plus ? Tu te branles dans les chiottes, ou sous la douche quand t’es excité ? — Je t’ai déjà dit comment le pion m’avait gaulé... — Ah oui... alors, tu le vois toujours ? — Ben oui, il s’arrange pour être dans mon dortoir — Mais les autres le savent alors ! — Mais non, il vient me chercher quand tout le monde dort. Et puis tu sais, je le suce vite fait dans les chiottes et je retourne me coucher. Tout en écoutant son ami, Eric a tiré sur les boutons de la braguette qui s’est ouverte, laissant pointer la queue tendue de Jean. Il la prend en main en la pressant doucement pour bien apprécier sa fermeté. Il passe le pouce sur le gland turgescent, avantage d’un sexe circoncis. Jean frémit de plaisir sous ses caresses. Il sait qu’il va glisser ses doigts sur ses bourses toutes lisses pour atteindre son périnée, zone hautement sensible chez lui et que son ami connaît bien. — Si tu continues, je vais gicler dans l’herbe ! — Tu as intérêt à te retenir... — Sinon quoi ? répond Jean avec un petit sourire, tu vas me punir peut-être ! — Allé, rhabille-toi ! J’ai des choses à te montrer ! dit Eric en retirant sa main non sans caresser une dernière fois la tige de chaire dressée de son ami. Jean se reboutonne rapidement et les deux garçons se dirigent vers chez Eric. A peine la porte de la chambre fermée, Jean laisse glisser son pantalon à ses pieds et retire son ...