1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1147)


    Datte: 12/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1144) - - … tu deviendras alors Ma femme, La Marquise esclave ! Monsieur le Marquis d’Evans, qui faisait toujours les choses en grand n’occultant aucun détail, bien que toujours de manière raffinée, décida de donner un dîner avec ses plus proches amis, tous faisant partie de notre monde de la Domination/soumission, pour annoncer ce prochain heureux évènement. Il décréta que le mariage aurait lieu deux mois après qu’Il m’ait proposé de m’unir à Lui, et voulut donc que ce repas ait lieu deux semaines après… Je ne savais pas encore comment le Maître allait présenter la chose à Ses invités. Mais comme ce fut moi qui prépara et envoya les invitations, je savais que ce n’était que des personnes qui avaient déjà eu l’occasion de me voir en tant que soumise, novice ou esclave. Mais je ne me posais pas de questions. Le Châtelain ferait comme Il l’entendrait, et le fait que ce soir-là, Il annoncerait officiellement que nous sommes fiancés ne changeait absolument pas le fait qu’Il restait LE Maître et qu’Il n’avait aucune justification à me donner sur Ses agissements, et qu’Il n’avait pas à me tenir au courant de quoique ce soit. Je restais avant tout Son esclave, qui devait juste patienter et attendre de voir la tournure que pouvaient prendre les évènements, tout en ayant conscience que, dans tous les cas, je ne risquais absolument rien entre Ses mains. J’exécutais donc mon travail avec rapidité, et très vite les invitations arrivèrent à ...
    ... destination. Les bans devaient être publiés à la mairie du village dès le lendemain du dîner. En attendant, rien ne changea dans ma vie au Château, elle ne devait changer significativement qu’après les noces tout en sachant qu’esclave j’étais, esclave je resterai à vie… Lorsque le jour du repas arriva, je finissais tranquillement ma journée de secrétaire particulière. Le Noble avait déjà quitté Son bureau depuis longtemps, étant parti en début d’après-midi pour un important rendez-vous professionnel. Je n’avais reçu aucun ordre pour la soirée. Je pensais donc, comme tous les vendredis soirs, aller aux cuisines pour me mettre au service de Marie la cuisinière. Mais alors que je commençais à me relever de ma chaise équipée des plugs verticaux fixés sur l’assise, la porte s’ouvrit et la voix de Walter m’enjoignit de ne pas bouger et de fermer les yeux. J’obéis donc, l’entendant s’approcher et le sentant bientôt contre moi dans mon dos. Il fit glisser ses mains de mes épaules à mes seins nus. Le port des pinces n’étaient pas conseillés sur de très longues périodes, car ça empêchait la libre circulation du sang, donc on ne me les mettait jamais pour les tâches quotidiennes. Il les remplaça, plantant ses ongles dans la chair délicate et sensible de mes tétons et les tortura quelques instants. - Allez la chienne ! Nous n’avons pas le temps de nous amuser, ce sera pour plus tard ! Suis-moi et dépêche-toi ! Je ne savais pas ce qu’il entendait par là, mais je ne doutais pas que je saurais ...
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