La mission de trop. - Histoires de Sexe

La mission de trop.

... empoigna Audrey, détacha les menottes et ramena les bras en avant pour les lui remettre. Il a pris une attention particulière a les fermés plus serrée que les autres fois de telle sorte qu’Audrey ressente une pression désagréable sur ses poignets. Son gémissement de douleur fut assourdi par le bâillon. Sylvie – Oh pauvre petite ! Ne te plains pas pour ça alors que nous n’avons même pas encore commencé L’homme de main fixa les menottes à la chaine et partit. Sylvie appuya sur un bouton près de la porte et les bras d’Audrey commencèrent à se lever doucement. Sylvie attendit que les bras soient bien tendus et qu’Audrey ait besoin de tendre les pieds vers le sol pour le toucher. Sylvie sortit deux nouvelles menottes, enleva la chaine qui reliait les pieds et écarta suffisamment les longues jambes d’Audrey afin d’avoir un accès facile à son sexe. Elle plaça une menotte attachée à un cercle de fer incrusté dans le sol à chaque jambe de manière à empêcher Audrey de les rapprocher. Audrey n’en croyait pas ses yeux, elle ne pouvait faire aucun mouvement ample. Sa position était désagréable et ses jambes écartées et attachées au sol l’obligeaient à se cambrer pour trouver l’équilibre. Sylvie – Tu es magnifique comme cela ! Cette position met en valeur tes formes, j’ai vraiment hâte de te déshabiller. Sylvie sortit des ciseaux d’une belle taille et commença par le bas. Audrey était toujours dans sa robe noire et moulante de soirée. Au fur et à mesure des coups de ciseaux, le corps ...

... d’Audrey se dévoila à Sylvie. Sylvie tira sur la robe et l’enleva complètement en ne laissant à Audrey que sa lingerie fine en dentelle noire. Sa culotte légèrement transparente laissait deviner la forme de son sexe. Sylvie commença à caresser les seins encore emprisonnés du soutien-gorge noir, elle n’hésita pas à passer quelques doigts à l’intérieur pour toucher les tétons et les pincer légèrement. Elle se baissa et sentit l’odeur intime d’Audrey. Elle en profita pour caresser mollement son sexe à travers la culotte et pu sentir l’humidité déjà présente. Sylvie – Parfait ! On va pouvoir passer aux choses sérieuses. Je suis tellement excitée et toi aussi apparemment. Tu ne peux rien me cacher, on va s’amuser toi et moi. Elle reprit les ciseaux et coupa rapidement la culotte d’Audrey et son soutien-gorge. Audrey se retrouva complètement nue devant les yeux pervers et pleins d’envie de Sylvie. Elle était horrifiée et essaya de se débattre le plus violemment possible mais elle ne pouvait que légèrement bouger son bassin. Elle était complètement prisonnière et commença à paniquer. Les bras tendus commençaient à lui faire mal et une grande quantité de salive provoquée par l’angoisse coulait sur sa peau. Sylvie – Je sais que nous n’avons pas enlevé ton bâillon depuis plusieurs jours mais je ne peux pas l’enlever maintenant, Mr. Bergman déteste être dérangé par des cris féminins. Je vais commencer par te mettre des pinces très serrés aux deux tétons. Pour augmenter la douleur je les ...