1. L'amour dans les cordes (1)


    Datte: 13/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... qu’il couchait avec d’autres filles. Sur le moment, j’avais cru que c’était l’ivrogne du bar qui m’avait suivi pour finir ce qu’il avait commencé mais non. Cet homme était plus costaud, plus grand et n’avait pas la même voix (ni la même haleine). Il était habillé d’un jean noir, d’un pull noir avec les manches retroussées, il s’était affublé d’une cagoule qui couvrait entièrement son visage et d’une paire de gants. Hormis les trous pour ses yeux et sa bouche sur sa cagoule, rien ne permettait de l’identifier. Sa voix me semblait étrange. Comme s’il forçait délibérément sur les graves pour la camoufler. — Bah alors tu vas répondre ? T’es qui ? — Je suis sa fiancée. On est ensemble depuis le lycée. — Ok …. Admettons …. et t’acceptes que cette petite bite parte voir ailleurs ? ….. Ou alors t’en savais rien et tu viens de l’apprendre ? ….. Oui c’est ça je le vois dans ton regard. — Je l’ai appris récemment mais là c’est une confirmation. — Crois-moi, quitte-le c’est un connard. Bon, comme tu le connais tu vas me dire où il range ses papiers pour le boulot. — Mais j’en sais rien moi je ne m’occupe pas de ses affaires. — Tu continues à le protéger ? Je savais que l’amour était aveugle mais là il te faut une canne blanche et un clébard. Bon tant pis je vais chercher. Ne t’étonne pas s’il y a le bordel après mon passage. Mais avant …. Il partit alors récupérer le sparadrap de l’armoire à pharmacie, me remplit alors la bouche avec … ce qu’il trouvait et me ferma la bouche avec le ...
    ... sparadrap. Ainsi je n’allais pas pouvoir ni bouger la bouche, ni crier ni quoi que ce soit. Depuis le salon où j’étais attachée, je l’entendais fouiller. Je n’osais imaginer le bordel que j’allais retrouver après son passage. Au début j’ai eu peur et puis ensuite, sans que je me l’explique, cette situation a commencé à m’exciter. Je ne savais pas pourquoi mais j’ai bien senti que je commençais à mouiller ma culotte en envisageant le fait que ce type puisse abuser de moi. Et non ce n’était pas la peur qui me faisait me pisser dessus mais plutôt l’excitation. En début de soirée, j’étais parti pour me taper n’importe quel mec et ce cambrioleur, n’avait pas l’air dégueu. Il était costaud et plutôt bien bâti bedonnant certes mais tout à fait comestible. Sur le moment je me suis dit « S’il décidait d’en profiter, je ne dirais pas non ». Pendant qu’il cherchait et passait de pièce en pièce, je l’entendais pester, ne trouvant pas ce qu’il cherchait. Je l’ai entendu revenir vers moi d’un pas pressé et visiblement en colère. Il m’arracha mes sparadraps et j’ai craché ce que j’avais dans la bouche. — Bon maintenant tu vas cracher le morceau. — C’est fait ! ai-je dit avec un sourire moqueur — Très drôle. Où ton mec planque ses affaires ? — Mais quelles affaires ? Si encore je savais de quoi vous parlez je vous le dirais mais là, je n’en sais rien. — Insolente ! — Le seul endroit où il pourrait avoir mis ce que vous cherchez c’est sa sacoche. — Ah ! Bah voilà. On est raisonnable. Alors elle ...
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