Voyage au Japon
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
ffh,
asie,
inconnu,
Collègues / Travail
hotel,
boitenuit,
collection,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
... Lorsqu’elles sortent enfin, Antoine est saisi, les deux femmes sont superbement sexy. Leurs yeux sont charbonneux, leurs lèvres rouges et toutes deux portent de petites robes noires moulantes. — Tu ne connais pas encore Julia je crois, voilà qui est chose faite ! Va enfiler ta chemise, on sort en boite ce soir. La boite est petite mais des dizaines de jolies filles, Japonaises aux longs cils et joues rouges, en particulier, dansent sur la piste. À l’entrée, des hommes en costume noir et oreillettes font la garde d’un air mauvais. — Les hommes de mains de Yakusa, lui souffle Julia. Julie papillonne, rigole. Un petit sourire jocondien ne quitte pas ses lèvres, comme si elle s’apprêtait à commettre une bêtise. Un petit brun, crâne rasé, prénommé Bruno, discute avec Julie depuis dix minutes. Antoine commande un verre et l’apporte à sa collègue qui le remercie puis continue sa conversation. — Elle m’ignore encore, se dit Antoine.— Elle est douée, hein, lui glisse alors Julia. Antoine est surpris, il ne l’avait pas vue arriver. — Laisse tomber, lui dit l’Italienne, elle m’a expliquée ce qui s’était passé le premier soir entre vous, tu connais la seule règle que Julie s’est fixée, jamais deux fois avec la même personne. Abasourdi, Antoine est abasourdi, qu’est-ce que cette règle étrange ? Et quand bien même, techniquement, il ne l’a jamais possédée ! Julie se lève et vient dans sa direction. Elle le fixe et s’approche d’Antoine assis sur le tabouret au bar. Elle passe sa main ...
... dans ses cheveux, lui tire une mèche et passe sa main dans sa nuque, sous son t-shirt, il sent ses ongles sur sa peau, puis elle repart. Antoine sent qu’elle a déposé quelque chose dans la poche de sa veste. À l’intérieur il découvre une petite culotte et un petit mot :En souvenir de ta belle queue que j’ai aimé sucer. Antoine devient fou. Il voit Julie sortir de la boite. Je sais que tu me suis. Je t’ai vu me regarder toute la soirée. Je t’ai observé sentir la culotte que j’ai glissée dans ta veste et j’ai vu ton regard lorsque tu as lu mon mot. Je sens ton odeur et ton excitation là, à quelques centimètres de moi. Je n’attends qu’une chose, que tu me plaques contre un mur, dans une rue sombre, ta main sur ma bouche et que tu me prennes. Mais, oseras-tu ? Je sens ton souffle dans ma nuque, je sens ton haleine chaude dans mon cou. Tu es là, juste derrière moi, je ne me retourne pas. Je veux te rendre fou. Je plante mes yeux, sans doute trop maquillés, dans les tiens. Prends-moi. Tu me bloques contre le mur, c’est froid dans mon dos. Je suis à ta merci. Tu défais ta ceinture violemment, tes mains sur mon corps sont fermes, dures, mais douces à la fois. Tu arraches le haut de ma robe et libères mes seins, j’ai froid, je suis presque nue entre tes mains. Tu soulèves ma robe et tu t’agenouilles, je sens ta langue entre mes cuisses, elle est douce, si tu continues je vais jouir, c’est si bon ce que tu me fais. Tu te relèves et tu sors ta queue, elle est toujours aussi belle, elle ...