Un anniversaire de mariage pas comme les autres
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
extracon,
inconnu,
boitenuit,
anniversai,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
intermast,
jeu,
... visage dans ma raie, remontant vers mes zones érogènes. Mamadou se coucha tête-bêche à mes côtés, grignota quelques instants mes petites pommes, puis son visage s’empara lui aussi des mets succulents que je leur offrais. La sensation était unique : pendant qu’une langue dessinait des spirales sur ma rondelle presque vierge, l’autre lapait ma fente dégoulinante. Puis je sentis deux doigts s’engouffrer dans ma vulve ; comme ils tournoyaient chacun dans un sens différent j’en conclus que ses salauds m’en avaient mis chacun un ! J’étais dans un état d’excitation sans précédent. Je lançai ma main à la reconnaissance du corps de Mamadou : je frôlai d’abord son ventre aux muscles saillants et je sentais son gourdin cogner mon poignet à chaque oscillation. Voilà, j’avais trouvé la route qui menait à ce que je cherchais. Il me suffisait de suivre la hampe pour recueillir dans ma paume ses lourdes bourses velues que je rêvais de tripoter. Oui, elles étaient là comme je les imaginais, écrasant ma main de leur poids. Je les fis rouler, puis n’y tenant plus, je tournai et avançai mon visage vers elles pour les couvrir de mes lèvres et les envelopper de ma langue. Mon beau black gémit de plaisir sous mon attaque surprise ; il redoubla d’ardeur à aspirer mon bouton d’amour. — Oh, elle me bouffe les couilles, c’est trop bon, elle a une bouche, on dirait une mante religieuse, elle va me les vider juste en les léchant ! Je le mangeai avec voracité, le nez enfoui dans ses poils drus, respirant ...
... son parfum musqué de mâle, mes ongles enfoncés dans ses muscles fessiers, mes lèvres gourmandes le dévorant comme une ex-anorexique de sexe découvrant la boulimie de la luxure et de la dépravation. Je n’en pouvais plus, mon ventre réclamait quelque chose de dur en son sein. Entre deux soupirs, je parvins à articuler : — Je n’en peux plus, ma chatte veut de la queue, baisez-moi !— Avec plaisir, je n’attends que ça depuis que je t’ai repérée au Centaure, quand tu étais assise au bar sur ton tabouret haut, ton beau cul cambré qui me faisait bander, ton beau visage aux aguets comme un fauve cherchant sa proie, ton petit air de bourgeoise un peu coincée que j’espérais délurée, j’avais envie de te baiser, rétorqua Greg, mais qui commence ? Je souris et lui répondis : — Ben t’étais le premier à me draguer, donc c’est toi qui aura cet honneur et ce plaisir, en plus, sans te vexer, car ta queue est un beau morceau, celle de Mamadou est plus grosse, comme ça tu vas me préparer la fente pour ton copain, pour qu’après il puisse me l’enfiler complètement, ok?— Hum, t’es une belle salope, mais aucun problème pour faire l’ouvreur, comme au ski, je vais tracer la piste ! Il se releva, enfila un préservatif et vint se placer à genoux, sur le bord du lit entre mes jambes. — Mamadou, tiens-lui bien les cuisses en l’air, car écartées ce n’est pas la peine, elle fait ça naturellement. Tenant sa bite à la main, il l’approcha de mon intimité et déposa son extrémité contre mon clitoris. Je faillis ...