Un puissant aphrodisiaque
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... et hypersensible, de savoir qu’un autre l’avait pénétrée quelques heures avant m’excitait au plus au point. Je la possédai avec rage et passion. Nous ondulions en rythme et ses geignements et les grognements de félicité allaient crescendo. Je la labourai de plus en plus fort jusqu’à ce qu’un orgasme nous submerge, puissant et profond.Nous sommes restés longuement l’un contre l’autre sans mot dire. Surpris par l’intensité de notre jouissance et moi… honteux de mon étonnante réaction. Elle s’est blottie contre moi et très rapidement nous nous sommes endormis sans un mot. Et j’ai rêvé. Je la voyais nue, offerte, écartelée, vendue sur un marché oriental, proposée aux enchères. Et je tentais vainement de la racheter… Ou encore dans un bordel chinois, palpée, soupesée, tripotée, son sexe béant à la vue de tout le monde. Et juste avant de me réveiller, j’ai rêvé qu’elle me prenait en bouche. Mes yeux se sont ouverts. Non, elle ne me suçait pas. Elle dormait encore, les fesses lovées contre moi. Je bandais comme jamais !J’ai placé mon gland contre sa fente. C’était doux et chaud ! Je l’ai pénétrée délicatement. Oh que c’était doux ! Elle a geint dans son sommeil, puis s’est mis à onduler du bassin au rythme de mes pénétrations. C’était bon de sentir le moelleux de ses fesses. Ma main caressait ses seins souples et élastiques. Comme je l’aimais ma femme adultère !Ce matin-là nous avons joui à l’unisson à nouveau, plus fort que jamais. Puis la vie a repris son cours comme à ...
... l’accoutumée. Nous nous sommes douchés, habillés, avons déjeuné et pris séparément la route pour le travail. Pas un instant nous n’avons évoqué son amant, sa trahison. Ni le mal que cela m’avait fait, ni l’étrangeté de ma réaction. Toute la journée je n’ai cessé de m’interroger. Allait-elle le revoir ? Allaient-ils baiser ? Mon attitude me surprenait aussi. Pourquoi avais-je été si indulgent, si excité de la savoir prise par un autre homme ? Mon travail s’en est ressenti ce jour-là. Les heures étaient interminables.J’ai été déçu le soir quand elle est rentrée à la maison légèrement après moi. Pas la moindre odeur d’Habit Rouge quand elle s’est jetée dans mes bras. Quelle déception et comment l’expliquer ! J’ai répondu à son étreinte mécaniquement sans la moindre tendresse. J’ai dit : — Tu n’as pas rencontré ton client aujourd’hui, sur le ton de l’affirmation plus que de la question.J’ai senti son corps se cabrer. — Non, mais comment le sais-tu ? — Tu sais cette odeur qui m’insuportait depuis quelque temps. Elle était sur tes vêtements : il utilise "Habit Rouge".Mon épouse est une femme subtile et intelligente. Quelque chose ne tournait pas rond en moi et elle le percevait. Elle s’est détachée de moi insensiblement. Elle a compris que je n’étais pas en mesure de la satisfaire ce soir. Visiblement elle ne savait que penser véritablement. Elle m’observait par en dessous cherchant à me sonder. Par moments son regard semblait s’éclairer d’une lueur moqueuse. Ainsi s’est déroulée la soirée, ...