Rencontre du Net
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
extracon,
hotel,
caférestau,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
facial,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
couple+h,
cocucont,
internet,
... mot pour la définir. Oui, incongrue… Ma main caresse mon clitoris en feu ; je pressens que je vais avoir besoin de m’offrir du plaisir tandis que mon amant malmène mon cul… Et c’est encore plus incongru quand Olivier commence à me ramoner. Le cœur battant, je souffle un peu sous cette contrainte étrange. Son pieu chaud coulisse en moi, déclenchant diverses sensations, cette étrange façon d’être possédée, d’être remplie, envahie. Cette petite douleur un peu lancinante qui monte, qui oscille entre plaisir et gêne. Je sens ce fier mandrin s’enfouir de plus en plus loin en moi, accentuant de plus en plus ces étranges impressions. Petite douleur, plaisir diffus, bien-être singulier, sensation d’être totalement possédée… Tête penchée, les yeux fermés, j’ahane doucement : — Oh… oh… oui… oui…— C’est bon d’avoir une bonne queue dans le cul ! N’est-ce pas ?— Oui… oui… c’est bon ! Très bon ! Oui, vas-y… vas-y… Ce double plaisir issu de ma chatte en folie et de mon cul en fusion fait monter en moi quelque chose d’inconnu, une jouissance étrange. Pour en avoir le cœur net, j’arrête de me masturber. La vague est toujours là ; elle rayonne, elle augmente irrésistiblement. Assez interdite, je me laisse porter par cette jouissance montante qui diffuse singulièrement de mes entrailles, mais pas du même endroit. Tant en poussant des « han ! » énergiques, Olivier me pistonne toujours, vigoureusement, profondément, puissamment. Soudain quelque chose déferle en moi, comme une digue qui rompt. ...
... Sans avoir eu le temps de réaliser, je suis irrémédiablement emportée par un tsunami qui me ballotte dans tous les sens. Je crie mon plaisir, mon corps vibre de contentement. À ma grande surprise, pour la première fois de ma vie, je viens de jouir du cul ! Après que nous nous soyons séparés sur le parking de l’hôtel en nous disant tous les trois « à bientôt », ma femme et moi sommes en train de revenir chez nous. Je roule lentement. Je suis à la fois content et troublé. Sophie est comme plongée dans une rêverie éveillée. Rompant le ronron du moteur, j’entame la conversation : — Je suppose que ça t’a plu ? Sophie semble sortir de son sommeil : — Ah… euh… oui…— Pour ma part, j’ai beaucoup aimé… mon fantasme a été parfaitement assouvi…— J’ai cru voir ça… Je suppose que tu comptes recommencer car tu as dit à Olivier « à bientôt ».— Toi aussi, tu lui as dit « à bientôt ». Agrippant sa ceinture de sécurité, elle bafouille : — Je… j’ai suivi le mouvement. Tu… tu l’as dit, j’ai machinalement répété…— On va le dire comme ça, ma chérie. Pourquoi tu n’avoues pas carrément que ça t’a plu ? Tu as joui comme une petite folle ! Une vraie cochonne déchaînée !— Ce… c’est gênant… Mes mains toujours sur le volant, je me contente de sourire. Ah, ces femmes ! La mienne ne sait même pas reconnaître qu’elle a pris son pied. Il est vrai que ça n’a pas été avec moi, et en effet, ça peut être embarrassant. Un bon kilomètre défile, puis je reprends la conversation : — Le principal est que ça nous ait plu, ...