Rencontre du Net
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
extracon,
hotel,
caférestau,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
facial,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
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cocucont,
internet,
... sur ma cuisse, près du genou, tandis qu’il continue de me parler de tout et de rien. Sa main remonte lentement, je ne proteste pas. De ce fait, il s’enhardit, me caressant voluptueusement, s’aventurant toujours un peu plus loin à l’intérieur de mes cuisses. Il trace du doigt l’orée de mes bas, longe les jarretelles qui les fixent. Puis il redescend lentement à l’intérieur de mes cuisses frémissantes, jusqu’au moment fatidique où ses doigts cognent contre mon pubis. Je respire un peu bruyamment, continuant la conversation comme si de rien n’était. À son visage, je vois bien que mon partenaire est surpris, agréablement surpris, car sous ma robe légère, mis à part des bas, je n’ai que mon bustier, rien d’autre, et l’accès à ma chatounette est libre. Le message est assez clair, il me semble… Néanmoins, la main d’Olivier ne bouge plus. Peut-être attend-il mon accord ? — Puis-je faire toc-toc à votre porte ? C’est mon mari qui répond par une célèbre formule : — Tirez la chevillette, la bobinette cherra…— Vous n’avez pas peur du loup ? Mon mari sourit tandis que je pique un fard. La situation est un peu… spéciale, je ne trouve pas le mot exact. Je suis à la fois gênée et terriblement excitée. Amusé par la réponse et le contexte, Olivier s’adresse à nouveau à moi, de façon plus concise : — Toc-toc ?— Entrez… J’ai répondu sans réfléchir, même si dans ce contexte précis ça sous-entend quelque chose de bien particulier. Par contre, Olivier ne perd pas de temps pour venir toquer à ma ...
... porte. Il marque un petit temps de flottement car il vient d’avoir définitivement confirmation que je ne porte pas de petite culotte. Il se reprend bien vite et commence à câliner l’orée de ma fente qui, à ma grande honte, mouille déjà. Mais en parfait gentleman il n’en dit mot, mais en profite ignoblement en venant me taquiner sensuellement. Ma respiration s’accélère sous ces multiples frôlements vicieux. Je ne vais quand même pas jouir sur place, ici, dans ce restaurant ! À mon tour, me donnant une contenance, je pose ma main sur le genou de mon voisin. Je sens bien, quand je remonte un peu, que sa cuisse, ce n’est pas du flan gélatineux, mais un muscle bien dur, ce qui laisse présager bien des choses dans la manœuvrabilité du bassin… — Vous pouvez remonter plus haut… Je ne réponds pas, mais ma main s’exécute. C’est toujours aussi ferme et bien musclé. Olivier est plus baraqué que mon mari, c’est certain. Mais le constater en palpant, c’est mieux. Quelque chose me dit qu’à l’hôtel, ça va être une bonne nouveauté pour moi. Durant tout ce temps, mon tourmenteur s’est enhardi, venant délibérément taquiner mon clitoris ultra-réceptif, et croyez-moi, c’est difficile pour moi de rester sereine en façade ! — Encore plus haut, si vous voulez… Je suis un peu circonspecte. Je voudrais bien, mais j’ai un peu peur de ce qu’on pourrait penser de moi. Soudain je réalise que je suis en train de déjeuner avec mon futur amant, celui qui va se faire un plaisir de me faire l’amour dans quelque ...