1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (11)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... fini. — Continue…Oh Patrick…Mon Patrick… Me supplia-t-elle la chatte en feu. — Je jouis Véro ! Dis-je dans un état de transe. — Ooooh…Ooooh c’est bon…si bon. Répondit-elle en soulevant son bassin désireux de se faire pénétrer plus profondément. — Je veux t’entendre jouir Véronique. Lui soufflai-je. — C’est trop bon…Oui…Encore mon chéri…Ouiii… Dit-elle baignant dans sa jouissance. — Tu m’appelles mon chéri ? — On s’en fout ! Continue j’adore trop avec toi…Huuummm…. Gémit-elle profondément. Je hurlais intérieurement, continuant mes coups de butoirs dans son antre, sentant son souffle haletant et ses petits cris étouffés. Peu à peu la tendresse prit le pas sur notre acte charnel. J’avais emmené ma tante dans un rapport sexuel endiablé, je ralentissais ma cadence. Je poursuivais mes caresses le long de ses cuisses en laissant un dernier baiser sur ses orteils raffinés. — Oh Véronique ! — Je n’arrive pas à le croire. Avoua-t-elle essoufflée. — C’est génial, je t’adore. — Oui moi aussi j’avoue que tu m’as emmenée très loin Patrick, mais on va stopper on a suffisamment pris de risques. Ajouta-t-elle en me caressant le torse. Nos corps trempés se firent complice, complice de l’interdit mais d’un plaisir absolu. Nous ne regardions plus le temps passer. Je restais dans la chaleur de ma tante malgré ma jouissance terminée et quelques va et vient langoureux alimentèrent des gémissements flâneurs, comme si je la faisais voyager dans une douce rêverie érotico-sensuelle. Puis elle ...
    ... quitta la table pour me faire un baiser dans le cou et me rouler une pelle mémorable. Nos langues habituées s’enroulèrent avec une facilité déconcertante. — Merci Patrick. Me chuchota Véro dans le creux de l’oreille. — T’es merveilleusement belle. Lui dis-je sentant mon sexe retrouver de la vigueur. — C’est gentil mais j’ai l’impression que tu n’es pas rassasié de ta tante. Dit-elle un brin joyeux d’une telle situation. — Putain qu’est-ce que tu me plais ! Tout en palpant ses seins enflammés. — Tu ne vas pas recommencer ? Dit-elle à la fois étonnée et ravie de se savoir tant désirée. — Chut ma belle Tatie…j’entends du bruit. Ma mère arriva et la fin de l’acte prenait fin. L’allemande nous dirigea pour un entracte. Près de trois heures s’étaient écoulées et force fut d’avouer je ne voyais pas le temps passé. Nous avions quitté la scène et Véro étant restée en nuisette, je la trouvais toujours autant charmante. La scène finale nous fut imposée par les commanditaires. Ils étaient désireux de voir ma tante se soumettre à mes caprices, mes désirs. A la demande de Véro, nous exigeâmes une vraie pause, le temps de retrouver notre chambre pour une douche salvatrice. L’allemande exauça notre souhait. De retour à l’étage pour reprendre des forces, ma tante se précipita dans la salle de bain. Je restais pensif pour cette ultime scène, bien loin de me déplaire. J’avais ainsi le libre choix de faire ce que je voulais d’elle, endossant le rôle de la femelle mûre soumise à son jeune mâle… 
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