1. Domination de couple - Épisode 7 - Léa torturée


    Datte: 14/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... se mette dos à moi, juste devant le canapé. Puis je l’accompagnais pour qu’elle s’installe à califourchon sur moi, de manière à ce que nous ayons tous les deux vues sur notre soumise torturée. Elle entama un lent mouvement de va et vient, c’était divin d’être en elle dans ce contexte. Léa tournait la tête, comme si elle essayait d’entendre mieux les gémissements de Pauline. Elle finit à nouveau par être secouée par un orgasme. Nouvelle rébellion, un peu plus violente et plus longue que la dernière fois. Elle avait arraché les pinces accrochées à ses seins. Son maquillage était ravagé par les larmes quand elle se remit à nouveau à gémir de plaisir. La prochaine fois, elle risque d’arracher la structure qui l’immobilisait… De toute façon, au son d’extase que poussait Pauline, je doutais qu’on lui impose un 4ème orgasme après le prochain. Je sentais la jouissance montée. Je me mis à martyriser les seins de Pauline qui dépassaient de son corset… et elle bascula dans un orgasme avec un long cri de plaisir. Dans sa jouissance, son vagin se mit à se contracter frénétiquement par intermittence, ce qui eut raison de moi. Cette dernière éjaculation me mis au tapis. Je me pris le contrecoup de nos dernières heures de folies : j’étais cramé. Pauline se leva et s’approcha de Léa. Elle était sur ...
    ... le point de jouir une nouvelle fois. Elle lui enleva son bâillon mais laissa son masque. Léa ouvrit les vannes : - « J’en peux plus… libérez-moi, pitié ! - Tu peux le faire ma puce… tu y es presque… » Elle lui caressait doucement le visage, lui chuchotait des mots doux, et faisait de petits va et vient avec le rabbit dans le vagin de Léa. Elle bascula une dernière fois. Dans un long cri qui laissait transparaitre à la fois du plaisir, de la souffrance, de la frustration, de l’épuisement... Un gémissement long et chargé d’émotions. Pauline fut très réactive. Avant que Léa ne se soit remise, elle avait enlevé le rabbit, le plug et l’avait détachée de la structure. On l’aida à s’allonger sur le lit. J’éteignais les lumières de la pièce pour ne laisser qu’une seule bougie. Puis Pauline lui enleva son masque. Léa garda les yeux fermés et resta en position prostrée sur le matelas. Pauline s’allongea derrière elle et la sera contre elle. Après quelques minutes, la respiration rapide de Léa se calma… et se transforma en un léger ronronnement. Dans lequel un son très identifiable pour moi se mêla : elles s’étaient endormies l’une contre l’autre. Je rangeais un peu la pièce, sorti une couverture pour l’étaler sur les deux silhouettes fragiles, soufflait la bougie et m’endormais contre Pauline. 
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