1. Des blondes à la pelle (1)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Lesbienne

    ... plia un genou, puis l’autre pour dégager son string et le jeta comme le gant d’un défi. Elle vint langoureusement s’assoir à l’autre bout du sofa en face de Nat qui tout en se demandant jusqu’où elle irait n’en était pas moins abasourdie mais charmée et excitée par le spectacle. Elle n’en avait vu que le début puisque, déjà, Andrée avait appuyé une jambe sur un coussin et que sa main allait vers son sexe pour commencer une lente et suggestive caresse .Son autre main effleurait la pointe d’un sein et son regard semblait vouloir se perdre dans un ailleurs de volupté. — Elle s’arrêta, se redressa, à deux mains prit la main de Nat. Nat senti un doigt qui insistait sur la courbure de la paume de sa main, comme s’li avait voulu la masturber. Ce majeur explicite s’arrêta quand Andrée tira la main de Nat en disant : «Touche comme c’est lisse » Nat tendit le dos de sa main et le laissa descendre le long du sexe d’Andrée qui se cambra pour mieux se montrer. — C’est vrai c’est doux on ne sent plus rien, tu t’es faite épiler ? — Andrée ferma les yeux pour dire oui et appuya sur la main qui la découvrait. Elle la retourna et lentement commença a se masturber avec. Nat doucement retira sa main mais elle vit Andrée, après une moue désapprobatrice, se saisir de son god en ivoire et commencer à le sucer de manière démonstrative. Elle bava un peu dessus avant de le porter à son petit trou et d’en faire le tour pour le faire pénétrer. — Tu ne vas pas… ! — Elle ne répondit pas et continua à ...
    ... introduire le god qui était déjà à moitié en elle. Son autre main alla sur son clitoris et elle recommença à se masturber en fermant les yeux. Nat était subjuguée devant tant d’audace, de folie et…. tant de merveille. C’était un spectacle irréel que de voir cette beauté Marilynienne offrir son désir comme une provocation. Tout appelait à l’amour dans ce corps aux formes courbes comme celle des Vénus antiques. Une Vénus se pénétrant et se masturbant comme la putain d’un lupanar de Rome ou de Pompéi. Le bassin d’Andrée commença à se soulever et elle expirait de petits gémissements. Elle semblait partir vers la jouissance, quand elle s’arrêta, se redressa, se hissa sur ses talons, pour venir se planter devant Nat et, en prenant doucement sa tête entre s ses mains, dire : «Bien léché, bien vu » Nat fixait le morceau de chair lisse juste en face de ses yeux. Andrée avait visé juste puisque c’était elle qui faisait de la sculpture et qui disait que pour connaitre intimement une chose, il fallait se servir de sa langue, il fallait la lécher. Elle ferma donc les yeux et sortit un bout de langue pointu, avança son visage contre ce bas ventre qui l’obligeait et très lentement commença à l’investiguer comme pour y découvrir un mystère. Le «Oui, comme ça » d’Andrée lui rappela qu’elle était en train de jouer avec de la dynamite. Elle s’écarta et dit « c’est vraiment lisse, on ne sent plus un poil. » Andrée ne répondit pas mais reprit le god, et en faisant basculer ses hanches, se le refit ...
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