1. Hélène 26 : Exposition, deuxième partie


    Datte: 14/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Hélène 26 : Exposition, deuxième partie - Viens voir ! Si ! Si, viens voir ! Je frémis, Cette voix, qui me fait frissonner, c’est celle de Béatrice… - Oh comme c’est intéressant, une chatte, et des nichons, ça change des culs qu’on nous montre. Lui répond un timbre plus masculin. - Le martinet est pour moi. Lui assène la femme. - Oui, mais c’est moi qui choisis. - Alors, mon loup, les seins ou le clito pour commencer ? - Le clito ! Un éclair décharge son énergie dans le rectum, agitant les boules d’acier. Une deuxième secousse, je me cambre et la lanière cueille au vol mes lèvres et mon bourgeon. Je crispe mes mâchoires sur la boule pour étouffer mon cri. Tout mon sexe résonne de souffrance. - Elle doit être bâillonnée, on n’entend presque rien. Fait le timbre viril - Tu veux que j’essaie les seins. Je tremble en attendant la cinglée. Mais l’électricité foudroie d’abord mon cul, puis les lanières lacèrent ma poitrine, me donnant l’impression que mon téton est arraché. Je souffle, j’halète autant que je peux avec le bâillon. Encore une décharge électrique, je me cabre, le coup tombe sur mes cuisses et mes nymphes. Puis la flagellation continue sans s’arrêter, je me cambre en permanence, secouée sans interruption par l’électrocution. Je geins sans arrêt, je pleure sous mon drap. Pendant les rares répits, où je peux reprendre mon souffle, j’entends les éclats de rire féminins. Mon corps torturé fait rire cette salope. Puis les cinglées reprennent, tous mes organes de plaisir ...
    ... me font souffrir. Une sonnerie discrète retentit. - Déjà fini, je commençais seulement à m’amuser. Fait la femme, en jetant le martinet, provoquant une dernière secousse. - Ce n’est pas drôle, on voie rien on entend rien. Elle ne fait que chouiner comme un gorette. Finalement, il n’y a qu’elle qui s’amuse ici. Tu viens, on va boire un coup au buffet. Fait la voix masculine. - Je te rejoins, j’ai encore une petite chose à faire. Lui répond la femme. Je pleure sous ce drap qui m’aveugle. Mon cœur affolé bat la chamade, j’ai si mal. Un souffle, près de mon visage, juste de l’autre côté du tissu. - Hélène, ma belle bourge. Je t’ai reconnue. Comment as-tu pu croire que j’oublierai que tu m’as piqué Pierre. Puis elle reprend. - Tu souffres, et pourtant, je t’envie, j’aimerais tellement être la soumise de ton mec. Quel est ton secret. Qu’est-ce que tu as, que je n’ai pas. Et elle conclut. - Adieu ma belle, je ne crois pas que nous croiserons à nouveau, en tout cas pas dans de telles circonstances. Soit heureuse avec ta perle rare. Béatrice a du s’éloigner, le silence règne dans la pièce. Le martinet, les décharges ont exacerbé mes sens. La confession que je viens d’entendre m’a bouleversée. Lentement mes battements cardiaques s’apaisent. Un froissement, puis le bruit d’un tissu qui se déchire. Un courant d’air frais sur mes cuisses, puis sur mon sexe exposé. Je me cabre sous le frôlement de mon clitoris érigé. Des doigts frais me débarrassent de mes pinces, puis ils défripent mes ...
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