1. Un p'tit tour en métro, c'est trop


    Datte: 15/06/2018, Catégories: hh, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels

    ... calme derrière le parc des expos. Il prit son souffle, ouvrit la porte et se retrouva sur le trottoir. Un couple, la cinquantaine, descendait la rue sur son trottoir, il fit semblant de chercher quelque chose dans son sac et resta immobile, le couple passa devant lui et il ne remarqua rien d’étrange dans leur attitude. Il se mit à marcher derrière eux. Un homme d’un certain âge remontait la rue, il le croisa. Il fit sembla de rentrer dans un hall d’immeuble pour pouvoir voir s’il se retournait, mais l’homme continuait sa route. Il arriva au croisement de sa rue avec l’avenue qui remontait vers la porte de Versailles. Il y avait plus de monde dans celle-ci, car il y avait un salon en ce moment. Il s’engagea résolument dans l’avenue. Il ne remarqua aucune attitude particulière ou remarque lancée à son encontre. Il prit confiance. Il se dirigea vers l’entrée du métro, il y avait foule, car c’était la sortie d’un salon. Rien dans la façon d’être des personnes ne lui semblait anormal à son égard. Il descendit dans la station, prit des tickets et se retrouva sur le quai. Il y avait du monde et chacun semblait pressé de rentrer. Un métro arriva, la masse prit d’assaut les wagons, il se retrouva coincé contre la porte du fond entouré de trois femmes africaines en boubous. Le train démarra. Elles parlaient fort et l’écrasaient contre la porte, il se mit donc perpendiculaire à la porte et se faisant il heurta avec son dos et ses fesses un homme qui était debout contre les strapontins. ...
    ... Il se ré-avança un peu. Le train freina et les femmes le comprimèrent de nouveau contre l’homme sans qu’il puisse s’écarter. La situation était gênante. Il sentait son ventre dans son dos. Il se trémoussa involontairement, les talons ne l’aidaient pas à garder un équilibre stable, pour trouver une position plus confortable, mais cela ne fit qu’empirer le contact. Tout à coup, il sentit une main frôler sa fesse droite, il ne savait que faire, il me voulait pas créer un esclandre. Un instant passa et la main se plaqua carrément sur sa fesse. Que faire, avec le peu d’espace, c’était peut-être son imagination qui lui jouait des tours. Cette idée disparut quand il sentit la main caresser sa fesse, puis les doigts se mirent à remonter le tissu léger de sa jupe. Quand il n’y eu plus de tissu à remonter, la main arrêta son travail, semblant prendre son souffle avant le pas ultime. Il était tétanisé, pour une première sortie il ne s’attendait pas à une telle aventure. Le métro s’arrêta à une station, il aurait pu sortir, mais il ne songea à cette solution qu’une fois le train reparti après avoir ingurgité plus de monde qu’il n’en avait vomi. À peine la rame se fut ébranlée que la main se glissa sous la jupe et rentra en contact avec la peau nue. Il frémit, c’était la première fois qu’un homme le touchait de cette façon. Il avait eu une copine et connaissait l’amour physique, mais cette liaison et quelques autres avec des filles ne l’avaient pas satisfait complètement bien qu’il aimât ...