1. La canne, la corde et la gourde et les graines de plaisirs !


    Datte: 22/07/2017, Catégories: fhh, cérébral, revede, massage, intermast, entreseins, légumes, préservati, exercice, conte, portrait, délire, humour, fantastiqu, sorcelleri,

    ... dans tout mon intérieur. Toi aussi, Malvin, je ne recevrai pas ton sexe de corde directement en moi de peur que tu ne laisses quelques fibres poilues à l’intérieur de ma chatte. Très motivés, il ne leur faut que quelques minutes pour trouver dans le tiroir de la table de nuit une boîte de préservatifs. Et là j’ai envie de sourire en pensant à la sorcière qui pourrait bien s’envoyer en l’air avec son balai de manière anti-reproductive ! —oooOooo— Ainsi bien équipés, je constate que leur rigidité n’a pas faibli. Filémon pose son bout protégé sur mon sexe et fait de légers mouvements pour que mon corps réagisse. J’aime beaucoup ses petits cercles qui font doucement le passage en écartant mes lèvres sexuelles et en avançant très lentement sur mon ouverture qui se dilate petit à petit. Je me sens trempée par ma liqueur. — Viens, Filémon, prends-moi ; j’ai très envie que tu me pénètres.— Chutttt, patiente… Elles sont bonnes comme ça, mes caresses juste à l’entrée ?— Hummmm, oui, comme ça ; mais empale-moi, ne me fais plus languir, je ne tiens plus !— Comme tu mouilles… encore, vas-y, inonde-moi, j’aime ! Quand mon corps essaie d’aller au-devant de sa trique de bois, il fait tout pour que je n’arrive pas à m’empaler sur lui. Quand il commence à l’entrée de ma moule à faire d’infiniment petits va-et-vient, les quelques millimètres en moi deviennent une torture et je n’ai qu’une hâte : c’est qu’il m’empale sans attendre. Je veux me sentir pleine de lui, remplie par son sexe de bois. ...
    ... Je ne tiens plus ; alors je l’attrape par son pommeau, et d’un coup sec je l’enfonce en moi jusqu’à ce qu’il cogne le fond de mon minou. — Arhhhr… Je l’ai pris par surprise, mais dans mon mouvement j’ai crispé mes parois sur son manche. Ma contraction l’a enserré sur toute la longueur qui est rentrée en moi et lui a arraché un long cri de plaisir, plus proche d’un grognement bestial que celui que je pouvais imaginer venant d’une canne humanisée et délicate. — Ah oui, tu le prends comme ça ! Alors, vas-y, régale-toi ! s’exclame-t-il. Bien enfoui au plus profond, puis revenant sur mon ouverture, il me frictionne sans répit. Il semble heureux de vivre une telle aventure charnelle et gémit autant que moi. Mon puits prend quelques degrés et il accélère ses va-et-vient de manière frénétique. Malvin s’est allongé sur moi et serpente sur ma peau avec des caresses divines en me disant des mots excitants au creux de mon oreille, ce qui accentue mon plaisir. Je suis exaltée ; j’accompagne frénétiquement les piloris de cet incroyable amant qui est en moi, et quand la pression est au summum, quand mon corps frémit de toute part, quand je gémis des « ouiiii, ouiiii » sans fin avec ma façon à moi de scander l’ivresse qui m’enveloppe tout entière, alors je me mets à hurler ma jouissance. Mes contractions vaginales évacuent ma coulée de cyprine. L’odeur des sexes chauffés à blanc envahit la pièce et je sens la moiteur de la canne au-dessus du préservatif. Filémon s’est retenu pour me laisser ...
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