Suzie 2
Datte: 15/06/2018,
Catégories:
Masturbation
Mature,
Transexuels
... tout en fixant sa grosse poitrine avec ses mamelons qui ramollissent peut a peut. Je ne peux plus me retenir, je dois jouir, il le faut. Tant pis si quelqu’un se lève juste au mauvais moment. Je me demande même si le fic black de ma main heurtant mes couilles s’entend de l’avant du bus, mais je m’en fou, il faut que j’éjacule, mais pas sur moi. Au dernier moment je devrai me pencher en avant en pointant ma bite vers le siège devant moi. J’accélère encore le mouvement si près de jouir que je me crispe, serre les fesses, entrouvre la bouche en serrant les dents et gémit faiblement en cherchant mon air. Mes genoux se frappent et mes orteils se retroussent dans mes runnings blanc et noir. Je retiens de justesse un cri en sentant mon sperme grimper dans ma hampe pour s’y accumulé. Je le sens passé sous mes doigts par le conduit sous ma verge. Les yeux tout petits je vois du sperme s’écouler de mon gland, mais sans jaillir, pas encore. Je me pompe à mort si près de l’orgasme que j’en tremble. Sur le point d’exploser, j’ai soudainement une idée saugrenue. Juste au moment de jouir, je croise les jambes puis me penche vers elle, ma bite se retrouvant au-dessus de ses cuisses, mon gland qui dégoûte pointant vers son entrejambe. Sentant mon cœur battre à toute allure je vois mon premier jet, le plus puissant jaillir pour tomber sur le dessous de sa jupe relevé et son collant. Je regarde ça toute électrique, raidit, le souffle coupé, tétaniser par la puissance de l’orgasme ma main ...
... arrêter sous mon gland. Je décharge abondamment, de longs jets de sperme épais, qui s’étale sur son bas ventre et le haut de ses cuisses comme si j’essayais de peindre un Polloc avec mon sperme blanc sur le collant noir. Je sais que c’est un peu idiot de faire ça, mais sur le coup, ça me paraît des plus excitant et ça l’est. Au paroxysme de l’orgasme, j’échappe de petit gémissement tandis que mon sperme cesse de jaillir, déjà, pour s’écouler lentement de mon gland sur sa cuisse. Les joues en feux, l’esprit embrouillé, je ressens un tel soulagement que je me vide les poumons dans ses cheveux si doux pour aspirer ensuite une grande goulée d’air en pressant ma queue si sensible. L’orgasme puissant déjà évanoui me laisse transi, essoufflé, même tremblante. Je jette un œil par-dessus les sièges, personne n’as bougé. J’essuie tout doucement mon gland sur sa cuisse et reprends mon souffle en me sentant si bien. Je me détends et mon cœur ralentit en admirant mon chef-d’œuvre. Le sperme est si épais qu’il va prendre du temps à sécher. Puis, tout sourire, la bite toujours raide et palpitante, je rabaisse sa jupe. Rien n’est visible et elle semble toujours dormir, même que ses mamelons on disparue. Je secoue ma queue rester très sensible et la replace sous mon slip en grimaçant tant bien que mal puis remonte mon collant et rabaisse ma mini-jupe. J’ai un peu de sperme sur les doigts, je le lèche aussitôt. Je souffle très fort, les lèvres en cul de poule, me sentant comme délivrer. Je me ...