Une semaine difficile
Datte: 15/06/2018,
Catégories:
fh,
rousseurs,
extracon,
copains,
hotel,
Collègues / Travail
voiture,
collection,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
extraconj,
... longtemps. Elle arrive, m’entraîne dans la chambre d’amis, se déshabille tout de suite m’obligeant à faire de même, elle se met à me sucer goulûment, elle aime cela puis se tourne et se présente en levrette, « Prends-moi comme cela aujourd’hui ! » À vos ordres ma chère ! Elle est un peu sèche, je dois la préparer, quelques coups de langue bien placés ont raison de sa résistance et je la prends en levrette, elle aime, j’ajoute mon pouce dans son œil de bronze, il ne faut pas longtemps pour qu’elle externe son plaisir, je me retire et me présente dans sa rosette, elle me traite de cochon, mais ses mouvements m’encouragent, il ne faut pas longtemps pour que je m’enfonce jusqu’au fond (l’avantage d’avoir un sexe dans la moyenne), elle me demande si elle est ma putain, si elle est ma salope, elle se caresse le clitoris, je lui attrape les seins, je ne peux résister, je décharge longuement dans son fondement. Elle se lève et va se laver, je fais de même, nous allons manger. 18 heures, un petit jogging tranquille, 12 km, une heure. Mardi, je me lève à 5 heures, je vais au bureau, 150 km de voiture, 10 heures de boulot. Heureusement je passe deux nuits à l’hôtel ! Ce soir, dîner avec Élise, elle est jeune, 32 ans, fiancée mais apparemment assez libre. Elle me rejoint à mon hôtel, nous ne traînons pas, après une dure journée de labeur, je m’allonge sur mon lit, bras en croix et je fais semblant de dormir. Elle enlève son tee-shirt, son soutien, elle a de magnifiques petits seins ...
... très fermes, avec une petite aréole très sombre, j’adore ! Elle me défait la ceinture, déboutonne mon jeans, baisse mon pantalon et mon slip, je l’aide un peu même si je suis censé dormir. Elle approche son visage de mon sexe, déjà au garde-à-vous, elle commence par de petits coups de langue qui me font frémir, sa bouche s’arrête toujours plus sur mon gland, je n’en peux plus, mon bassin se soulève pour aller au-devant de ses lèvres, je sais qu’elle me regarde, puis, enfin elle m’embouche de tout son long, c’est une véritable décharge électrique, j’ouvre les yeux, mon regard croise le sien, elle me regarde avec un air de défi, un regard qui dit « maintenant tu m’appartiens, je fais ce que je veux de toi ! » Elle a probablement raison, je ne désire qu’une chose, qu’elle ne s’arrête pas ! Après quelques minutes de ce traitement, je le sens venir, inexorable, profond, il vient de loin, un orgasme puissant, ma respiration s’accélère, la sienne aussi, ça y est, je crie, j’inonde cette bouche langoureuse, elle frémit de tout son corps, je retombe pratiquement inanimé, elle achève goulûment d’avaler ma sève. Elle se couche sur moi, m’embrasse délicatement. Il est temps de sortir manger, on se rhabille, on sort. Ce soir japonais. Après le repas, nous rentrons en chambre, comme un vieux couple, nous occupons la salle de bain chacun son tour, puis nous gagnons le lit, nus. Couchés l’un à côté de l’autre, nous parlons, nous parlons, nos boulots sont similaires, nous adorons ces moments ...