Soirée Entre Amies Ch. 01 - Histoires de Sexe

Soirée Entre Amies Ch. 01

... je lui ai répondu de même. Je ne me suis pas levé de suite, mon regard étant attiré par ce que les hommes regardent lorsqu'ils suivent une femme dans la rue, surtout que cette partie de son anatomie n'était qu'à quelques centimètres de mon visage... j'ai failli louper mon arrêt. Le hasard ayant fait que nous sommes descendus au même arrêt, m'a donné une idée. Je l'ai suivi discrètement et lorsqu'elle est monté dans sa voiture, j'ai frappé à la vitre passager. J'ai alors prétexté d'avoir oublié mes clefs de voiture au travail pour lui demander si elle pouvait me raccompagner à mon domicile pour récupérer le double. Elle a accepté d'ouvrir sa porte à un inconnu et m'a ramené chez moi. J'ai profité de ce cours trajet pour l'observer, nous n'avons échangé aucune parole, comme deux collégiens qui n'osent pas se parler et qui pourtant sont attirés par un désir jusqu'à l'heure inconnu. Son décolleté, surement un bon 95D voire plus ne m'a pas laissé indifférent, j'ai même commencé à avoir un début d'érection en imaginant ce que beaucoup d'hommes imaginent en voyant une poitrine généreuse. Arrivé devant le portail de la maison, je lui ai proposé de venir boire un verre à la maison en sachant pertinemment que mon épouse est présente, ce qui devrait la mettre en confiance. Nous sommes maintenant tous les trois assis dans le salon. Mon épouse dévisage cette femme, elle doit se demander si elle est ma maîtresse ou bien une ...

... collègue. J'explique brièvement la situation, elle ne me croit pas. Elle sait très bien que je n'oublierais jamais mes clefs de voiture au travail, pour la bonne raison que je prends le bus entre la gare et chez nous. Elle pose quelques questions à cette femme, des questions qu'une femme pose à une autre femme. Mon épouse faisait tout pour que cette invitation à boire un verre dure le plus longtemps possible. J'étais là en observateur, je n'écoutais pas leur conversation, non mon esprit vagabondait, il imaginait la suite.... Les deux femmes avaient l'air de bien s'entendre, elles rigolaient même et au bout d'une heure elles commencèrent à se tutoyer. Soudain, Laurence se leva, elle fit la bise à mon épouse, et alors que je lui tendais la main me fit quatre bises tout en posant sa main sur mon épaule et en s'approchant tellement proche de moi que je pus sentir la pointe de ses seins sur mon torse, ce qui eut un bel effet sur mon anatomie. Elle me glissa dans le creux de l'oreille : "A bientôt ". Je ne sus que répondre et ne répondis rien. Laurence était partie depuis moins de deux minutes que mon épouse me demanda d'aller chercher une bonne bouteille de Bordeaux rosé à la cave et de la mettre en carafe. -On fête quelque chose? -Non, Laurence, vient manger ce soir avec son amie Carole, tu n'as pas écouté notre conversation? Je ne réponds pas et descend à la cave. Il est vingt heures, une voiture, entre dans la cour.