1. L'été de mes 18 ans 19


    Datte: 16/06/2018, Catégories: Lesbienne

    « Ben, je t'en prie, ne te gêne pas! » A son tour, elle plongea sous la table. J'écartai largement les jambes pour lui faciliter l'accès. Je sentis ses doigts sur mes cuisses puis sur mon minou et je m'abandonnai en frémissant. Elle me caressa un moment, me faisant mouiller et soupirer. Puis elle reprit sa place. Elle eut un sourire mutin en voyant mon trouble dans mes yeux. Nous finîmes notre repas et, toutes les deux bien excitées, nous sortîmes du restaurant. Nous décidâmes d'aller au parc Montsouris en bus. Il arriva bientôt. Il était à moitié plein. Nous nous assîmes à l'arrière, là où il y avait le moins de monde. Nous nous mîmes à nous bécoter tendrement. Puis ma main se posa sur sa cuisse et remonta, entrainant le tissu. Marianne frémit mais se laissa faire. Je me mis à lui caresser le mont de vénus, puis à jouer avec ses grandes lèvres humides. Je m'aperçus tout à coup que quelqu'un nous regardait. Il s'agissait d'une brune très mince aux cheveux courts qui était assise à notre hauteur de l'autre côté de l'allée centrale. Je voyais qu'elle ne perdait pas une miette du spectacle. Je continuai à caresser Marianne, la doigtai puis je portai mes doigts trempés à ma bouche et les suçai en regardant l'inconnue dans les yeux. Elle eut un sourire, puis tira un carnet de sa poche et griffonna quelques mots. Pendant ce temps, Marianne soupirait de plus en plus et remuait le bassin. Elle finit par jouir avec un petit cri qui ne passa pas inaperçu de notre voisine. Peu de temps ...
    ... après nous descendîmes. L'inconnue me glissa quelque chose dans la poche latérale de mon sac à mains lorsque je passai à sa hauteur. Nous entrâmes dans le par cet nous assîmes bientôt sur un banc dans une allée tranquille. Marianne était décidée à prendre sa revanche. Nous reprîmes nos bécots et je sentis ses doigts qui déboutonnaient les boutons en bas de ma robe. Bientôt celle-ci s'ouvrit jusqu'à mon nombril. Marianne m'empêcha de me reboutonner et se mit à caresser mon sexe dénudé. La douceur de ses caresses et la crainte d'être surprise m'excitaient terriblement. Elle dût s'interrompre deux fois et rabattre ma robe car il y avait des gens qui approchaient : d'abord une vieille dame, puis une jeune maman avec son landau. Dès qu'elles eurent passé notre banc ; Marianne reprit ses caresses diaboliques. Je ne tardais pas à jouir en gémissant et en donnant des coups de cul. En jetant un œil, je vis que le banc était trempé de ma mouille. Marianne avait un rendez-vous professionnel et je la quittai. Dès que je fus seule, je jetai un œil dans la poche de mon sac. Je dépliai le papier : « RDV au café « Les vieux amis » à 18h. J'ai horreur d'attendre. Joséphine » Un petit plan indiquait la station de métro la plus proche. J'avais juste le temps de m'y rendre. A peine arrivée au café, je repérai Joséphine assise sur un tabouret de bar. Elle portait un jeans moulant et un petit pull en coton. En l'observant, je constatai que le bas de son corps était très féminin -- Elle avait une ...
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