Thomas (1)
Datte: 16/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... n’est pas ça le plus grave. — Je ne peux pas contrôler mes sentiments, Maman. Je te demande pardon mais je n’ai rien fait d’autre ! Qu’est-ce que j’aurais fait de pire ? — Oh, toi, tu n’as rien fait, mon amour ; ce qui est plus grave c’est que moi aussi j’ai de vilaines pensées à ton égard. Je me masturbe tous les jours dans mes culottes pour être sûre qu’elles seront bien imprégnées de mouille pour toi. Je partage la même envie que toi, dit-elle en posant une main sur le sexe de son fils, et je suis là pour ça si tu en as envie. — Tu veux dire que tu es venue dans ma chambre pour faire l’amour ? Demanda Thomas incrédule. — Oui, mon Chéri, je suis venue pour ça et je constate que ta jolie bite ne dit pas non. Tu permets ? Demanda Odile en se penchant pour la prendre en bouche. — Oooh, Maman… Dit simplement Thomas en posant ses mains sur son dos. Odile se régalait de la jolie verge de son fils et le goût laissé par sa masturbation précédente ne la gêna pas, bien au contraire. Elle l’avalait, la suçait et la masturbait avec l’envie grandissante de la sentir pénétrer dans sa chatte. Thomas se laissa faire simplement quelques minutes avant de placer sa mère tête-bêche au dessus de lui et de lui rendre la politesse dans un long soixante-neuf. Odile en fut gênée au début du fait qu’elle venait de faire l’amour avec son mari. — Non, Chéri, ça doit être plein de sperme… — Et alors ? Ce ne sera pas la première fois de ma vie que je bouffe du sperme et puis c’est celui de Papa, de ...
... toute manière. — Mmm, cochon… Et en plus tu t’y prends bien. Odile ne lutta pas et se laissa manger la chatte tandis qu’elle reprenait sa verge en bouche. Bien que leur excitation fût grande, l’un et l’autre voulaient faire durer le plaisir. Ils se léchèrent et se sucèrent avec beaucoup d’attention en prenant garde à ne pas aller trop loin. Ils changèrent de nouveau de position, s’étreignirent et s’embrassèrent à pleine bouche. Leurs langues se mêlèrent dans un baiser passionné durant lequel Thomas passa au dessus de sa mère. Il lui écarta les cuisses en les attrapant sous les genoux et pointa sa verge tendue à l’entrée de son coquillage humide de désir. Ses grandes lèvres roses et brillantes s’ouvrirent au passage du gland qui disparut aussitôt dans les replis secrets de sa vulve. Odile n’aurait su dire qui de son mari ou de son fils avait la plus grosse mais elle se sentit aussitôt bien remplie. — Ooh, mon Bébé… Que c’est bon. — Mmm, Maman, je n’arrive pas à y croire, je te pénètre !! — Oh si, Chéri, c’est bien ce que tu fais. Ooooh… Oh oui, comme ça. Baise moi, mon Bébé, baise Maman. — Aaah ! Ah oui, c’est trop bon, Maman ! Je… je veux te faire jouir, Maman. Malgré son jeune âge, Thomas n’était plus un puceau depuis longtemps et les expériences accumulées durant l’été avaient renforcé son assurance. Il était attentif au plaisir de sa mère et savait contrôler le sien. Il la prit longuement en missionnaire puis ils changèrent de position. Il la prit en chien de fusil, en ...